Karkwa - M pour Montréal - 2008-11-22 (photo: Jean Lalonde)
Dans le carnet musical du 26-11-08 de Jean Lalonde, directeur Internet pour l'Équipe Spectra:
C'est la première fois que je voyais le groupe Karkwa interpréter son matériel. Je suis impressionné par le travail de leur leader Louis-Jean Cormier. En particulier, j'ai apprécié sa réalisation de l'album Douze hommes rapaillés (dont je vous parlerai bientôt) . Je l'ai vu cet été, pendant les FrancoFolies, avec les autres membres de Karkwa accompagner Jérôme Minière en répétition pour une spéciale avec Jim Corcoran. Même dans ce contexte particulier, la magie avait opéré.
J'ai regretté, samedi, de ne pas avoir encore bien écouté Le volume du vent, le dernier album de Karkwa (honte à moi). Dans le contexte d'un showcase comme samedi, il était normal qu'ils se concentrent sur leur matériel récent. Je ne les ai donc pas vu interpréter les pièces que je connais de leur précédent album Les tremblements s'immobilisent, comme Coup d'état. Il faudra voir leur spectacle complet pour ça. Mais si je me fie aux commentaires de Marie-Christine Blais, ça en vaut le coup :
Dix-huit chansons comme autant de voyages musicaux, à la fois complexes et organiques, qui évitaient l'écueil du planant pour être plutôt atmosphériques et rock, très rock. Chacun des morceaux a eu droit à sa longue plage musicale forte, avec quasi toujours ce dialogue riche entre les percussions inventives de Julien Sagot et les claviers éblouissants de François Lafontaine. Source: Cyberpresse
J'ai beaucoup apprécié ce que j'ai entendu samedi, en particulier les jeux de percussions supportées par deux des cinq membres du groupe. Mais j'aurai une autre chance de voir Karkwa le 11 décembre, au Métropolis. (...)
J'ai regretté, samedi, de ne pas avoir encore bien écouté Le volume du vent, le dernier album de Karkwa (honte à moi). Dans le contexte d'un showcase comme samedi, il était normal qu'ils se concentrent sur leur matériel récent. Je ne les ai donc pas vu interpréter les pièces que je connais de leur précédent album Les tremblements s'immobilisent, comme Coup d'état. Il faudra voir leur spectacle complet pour ça. Mais si je me fie aux commentaires de Marie-Christine Blais, ça en vaut le coup :
Dix-huit chansons comme autant de voyages musicaux, à la fois complexes et organiques, qui évitaient l'écueil du planant pour être plutôt atmosphériques et rock, très rock. Chacun des morceaux a eu droit à sa longue plage musicale forte, avec quasi toujours ce dialogue riche entre les percussions inventives de Julien Sagot et les claviers éblouissants de François Lafontaine. Source: Cyberpresse
J'ai beaucoup apprécié ce que j'ai entendu samedi, en particulier les jeux de percussions supportées par deux des cinq membres du groupe. Mais j'aurai une autre chance de voir Karkwa le 11 décembre, au Métropolis. (...)
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