Karkwa la grande réunion d'octobre 2017

Karkwa la grande réunion d'octobre 2017

Depuis la pause de décembre 2011

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mercredi 30 juin 2010

La Maudite Machine

Souvenir de la St-Jean de l’an dernier : une reprise de « La maudite machine » d’Octobre par Karkwa, groupe que j’adore! (En fait, je sais pas si c’était seulement Louis-Jean Cormier ou si c’était vraiment l’ensemble de Karkwa… bof, ça reste excellent!)



Extrait de l'article "Holy Schnauzer" par Julie sur le blog "Brain explosion"

lundi 28 juin 2010

Karkwa prépare sa tournée d’automne au Québec


Après un congé bien mérité, les membres du groupe musical québécois reprendront la route du Québec pour leur tournée d’automne.

Quoi de mieux que trois concerts préliminaires pour se réchauffer? Stéphane, Louis-Jean, François, Martin et Julien feront effectivement un saut à St-Hilaire (7 juillet), à Alma (16 juillet) et au Mont-Tremblant (24 juillet) pour nous charmer avec une performance musicale qui restera longtemps dans notre mémoire. Y serez-vous?

Vous trouverez, ci-dessous, la liste officielle des spectacles. Revenez de temps en temps dans la section Spectacles, puisque d’autres destinations musicales s’ajouteront au fil des jours.




DATE HEURE LIEU SALLE / SITE WEB
07-07-2010 19:00 St-Hilaire L’Esplanade de l’Hôtel de ville
16-07-2010 21h00 Alma, Péribonka Auberge de l’Île du Repos
24-07-2010 21h00 Mont-Tremblant Scène de la Place Saint-Bernard
17-09-2010 20:00 St-Eustache Centre d’Art la Petite Église
18-09-2010 20:00 Lavaltrie Café culturel de la Chasse Galerie
23-09-2010 19:30 Maniwaki Auditorium de la CEHG
24-09-2010 20:00 Buckingham Salle Desjardins
25-09-2010 20:00 Waterloo Maison de la culture
30-09-2010 20:00 Montréal Rentrée montréalaise – Pop Montréal, Métropolis
12-11-2010 20:00 Dolbeau Vox Populi
18-11-2010 20:00 Québec Grand Théâtre de Québec, Salle Louis-Fréchette

Karkwa redéfinit la pop-rock

Je ne sais pas si c'est moi qui souffre d'une obsession pour le Québec, ou si la puissance créative du pays se fait de plus en plus en ressentir, mais il se passe quelque chose outre atlantique.

Musicalement, de nombreux groupes s'illustrent avec fracas jusque par chez nous (pour n'en citer que peu, Karkwa redéfinit la pop-rock et les Trois Accords décrochent les plafonds, Bernard Adamus se fait sa place avec vigueur, etc...). 

Extrait de l'article "28/06/2010 : GABRIEL AUCLAIR-DOUCET VOUS MET SA CASSETTE !" sur sang pour sang horreur.com

samedi 26 juin 2010

Karkwa, le choix d'un dilemme

Pour la dernière soirée, le 18 juillet, elle sera facile à choisir, il ne reste que le FEQ et je choisis le programme du Parc de la Francophonie avec Land of Talk (19h15), Elvis Perkins (20h20) et Karkwa (21h30), que je n’ai pas vu depuis le 14 février 2009( à Fermont!!)probablement mon plus grand jeûne de la troupe.

Extrait de l'article " Le parcours du dilemme: quoi voir au FEQ et au OFF "de Mickaël B, La Barbe, BanbangBlog

Karkwa réinvente le rock (en) français !

Karkwa me rend baba. Cela fait des semaines que je veux en parler ici, depuis que j'ai acheté l'album de ces fantastiques québécois lors de mon escapade à Montréal pour voir Charlotte Gainsbourg. Je ne me lasse pas des "Chemins de verre", qui devrait sortir en France à la rentrée et est déjà gros de l'autre côté de l'Atlantique. 

Les semaines, les mois ont beau passé, je n'ai toujours pas entendu un meilleur groupe de rock chantant en français que Karkwa, dont j'avais déjà parlé (ici même, je vous conseille le clip de "La Façade" en lien). Le précédent album "Le volume du vent" m'avait sidéré avec son côté Radiohead, ses dérapages contrôlés, son intensité retenue toujours prête à exploser. Le nouveau Karkwa est une même merveille.

Article d'Emmanuel Marolles, ZikZag, Le Parisien.fr

vendredi 25 juin 2010

Karkwa à l'auberge de l'île du repos

KARKWA le Vendredi 16 juillet à 21h00 à l'Auberge de l'Île du Repos à Alma

Imbu d’harmonie, Karkwa fignole depuis des lustres ses airs planants et incisifs au moyen d’instruments frivoles et volatils, dans une pétarade éclectique, mais toujours d’une grande innovation mélodique. Karkwa reste encore l’enfant légitime de sa mère beatle et de son père zeppelin, mais il est devenu le groupe le plus accompli de la steppe laurentienne. Karkwa nous accorde l’immense faveur d’une escale exclusive sur nos planches en formation festival, pour livrer son sublime opus, Les Chemins de verre. Un délire de purs délices…

jeudi 24 juin 2010

Chanter en français… Et notre avenir ?

À toutes et tous qui sont francophones, à mes lectrices et lecteurs qui résident au Québec, dans le reste du Canada ou même ceux dont les arrière-arrière-grands-parents ont quitté leur territoire d’origine pour une autre vie chez nos voisins du Sud,  je souhaite une bonne et belle  Saint-Jean.

Ai-je besoin de rappeler que ce blogue n’est  pas le lieu virtuel pour discuter de  notre avenir politique. Toutefois, il y est tout à fait indiqué de réfléchir ensemble à  notre expression chansonnière. Et, tant qu’à y être, profiter de cette occasion pour nous projeter plus loin dans la décennie qui s’amorce ou même dans les autres qui suivent.

La modernité québécoise a vu naître la chanson d’auteur dans les années 60. Une pop moderne et distincte s’est imposée au cours des années 70. Après une chute importante durant les années post-référendaires,  l’expression francophone a émergé de nouveau à la fin des années 80. Depuis un quart de siècle, cette expression s’est fragmentée en de multiples sous-genres, depuis la petite variété star-académicienne au hip hop tous azimuts en passant par le rock indé et la plus pointue des chansons d’auteur. Il va sans dire, la dernière décennie nous a fait découvrir une gamme impressionnante d’artistes de talent.

Le seul hic, c’est que cette production originale est demeurée insulaire, sauf exception – Coeur de pirate, quand tu nous tiens ! Pourra-t-elle le demeurer indéfiniment ?  La planète ne cesse de rapetisser, pas évident que les francophones d’Amérique pourront vivre dans cette autarcie comme ils l’ont fait depuis la Révolution Tranquille avec le soutien d’un État mieux nanti qu’il ne l’est aujourd’hui.

Au Brésil où j’ai passé quelques semaines au printemps dernier, l’autosuffisance culturelle est encore envisageable : près de 200 millions de lusophones y occupent la moitié d’un continent.  En Amérique du Nord ? Entourés de plus de 300 millions de personnes ayant choisi l’anglais pour de bon, moins d’une dizaine de millions de francophones peuvent-ils voir les choses ainsi ?

On a beau se réjouir du talent incontestable des Karkwa, Malajube, Catherine Major, Yann Perreau, Fred Fortin, Mara Tremblay, Vincent Vallières, Dumas, Pierre Lapointe et autres Damien Robitaille (tous apparus au cours de  la dernière décennie), rester entre nous sans connexion réelle avec le reste de l’espace francophone ne sera peut-être plus envisageable encore longtemps.

À l’heure des expressions mondialisées, une chanson québécoise (ou francophone d’Amérique) confinée à son territoire pourra-t-elle s’émanciper au cours de la prochaine décennie ? Au cours des prochaines générations ?

Sans une interpénétration beaucoup plus active de toutes les expressions françaises d’Europe (où tant de jeunes Français se mettent à l’anglais), d’Amérique du Nord, des Antilles, d’Afrique ou de l’océan Indien, qu’en sera-t-il en 2050 ?

Sans un espace francophone beaucoup plus cohésif, qu’en sera-t-il ?
À mon humble avis, pas grand-chose.

Je ne suis pas pessimiste pour autant, et je nous souhaite les meilleures chansons québécoises écrites dans un français à la fois spécifique et parfaitement maîtrisé.

Je nous souhaite des musiques en phase avec les tendances les plus créatives de la pop culture.

Et je vous demande ceci en terminant:

Croyez-vous à l’avenir d’une expression francophone d’ici ?
Si c’est le cas, quels artistes francophones d’ici avez-vous identifé pour  la prochaine vague ?

Article d'Alain Brunet dans La Presse, le mercredi 23 juin 2010

mercredi 23 juin 2010

K pour Karkwa

Pour une raison qui m’échappe, je n’appréciais pas vraiment Karkwa avant Le volume du vent. Maintenant, je me régale de tout ce qu’a composé Louis-Jean Cormier.

Une pièce essentielle : Le compteur

Extrait de l'article "Abécédaire iTunien" du blogue de Métro Montréal  par Vincent Fortier 23 juin 2010,

vendredi 18 juin 2010

Les Francos de Montréal en live !

Jusqu'à demain se tiennent les Francofolies de Montréal, le plus grand festival de chanson francophone au monde. Toute cette semaine, outre les comptes rendus de nos envoyés spéciaux, nous vous proposons de retrouver à 12h et 18h des extraits de concerts captés lors de l'édition 2009 : Oxmo Puccino, Martha Wainwright, Juliette Gréco, Toumani Diabaté, Arthur H... Aujourd'hui, du rock québécois, avec Malajube, Karkwa et Yann Perreau. Pour écouter, cliquez à 12h ou 18h, donc, sur le bouton en bas de l'écran (du site de Télérama) Le 18 juin 2010 

LE LIVE DE MONTREAL : ROCKEURS QUEBECOIS : La scène rock québécoise grouille de talents. En voici trois, déjà très reconnus : Malajube, Karkwa et Yann Perreau. Extraits de concerts captés l'an passé aux Francos de Montréal.


Prix Polaris: Fred Fortin, Karkwa et Radio Radio finalistes

Fred Fortin, Karkwa, Misteur Valaire et Radio Radio font partie des 40 finalistes inscrits sur la liste préliminaire du prix Polaris. 

Le prix est remis à l'artiste ou groupe canadien ayant sorti le meilleur album de l'année et inclut une bourse de 20 000 $.

Blue Rodeo, Broken Social Scene, The New Pornographers et Tegan and Sara font aussi partie des finalistes. Les Montréalais The Besnard Lakes, Plants and Animals, The Slew et Young Galaxy sont également sur la liste. La «courte liste» de 10 albums sera dévoilée le 6 juillet. Le gagnant, déterminé par un jury, sera connu le 20 septembre.

Le groupe Karkwa. Photo Robert Skinner, La Presse

Article de La Presse Canadienne, Toronto,Publié le 17 juin 2010

Prix de musique Polaris: Fred Fortin et Karkwa parmi les demi-finalistes

La liste de présélection en vue du Prix de musique Polaris a été dévoilée ce jeudi. Les Québécois Fred Fortin, Karkwa, Misteur Valaire, Plants and Animals, The Slew et Young Galaxy figurent parmi les nommés. Radio Radio, un trio acadien maintenant basé à Montréal, est aussi du nombre.

Cette année marque le cinquième anniversaire du prix Polaris. Une somme de 20 000$ est offerte au meilleur album canadien, un disque jugé seulement sur le mérite artistique, sans considération pour le genre ou les chiffres de vente.

Polaris rend sa liste de présélection publique pour une deuxième année consécutive.

Cette liste comprend comprend les 40 meilleurs albums sortis entre le 1er juin 2009 et le 31 mai 2010, tels que choisis par un jury composé de journalistes musicaux, de diffuseurs et de blogueurs à travers le Canada.

Le jury dressera ensuite sa liste des dix meilleurs albums parmi ces 40 choix. Celle-ci sera dévoilée le 6 juillet à Toronto. Le gagnant sera déterminé plus tard.

Extrait de l'article de Julie Rhéaume, branchez-vous, le 17 juin 2010

jeudi 17 juin 2010

Karkwa vient réaffirmer son statut

 Critique de CD : Les Chemins de Verre

Karkwa s’imposait déjà comme étant une figure importante de la musique émergente québécoise. Avec ce quatrième opus, Karkwa vient réaffirmer son statut, voire même raffiner ses sonorités. En effet, on retrouve sur cet album les éléments essentiels qui ont largement contribué au succès du groupe, mais il y a aussi la présence d’un travail plus détaillé qui se fait sentir du côté des arrangements, tant vocaux qu’instrumentaux. Probablement l’album le plus mature du groupe. L’excellent titre Le pyromane nous introduit le disque en terrain connu, une belle progression d’accords supportée par le chant de Louis-Jean Cormier qui rappelle les intonations du brillant Patrick Watson. Écouter un album de Karkwa requiert une certaine discipline, plusieurs écoutes sont donc nécessaires afin d’apprécier pleinement cet effort plus que réussi. Probablement un des meilleurs disques québécois de l’année 2010. Portez une attention particulière aux pièces Moi-Léger, Le Bon Sens, Les Chemins De Verre, et La Piqûre.

Article du 16 juin 2010, Les Chemins de Verre, de Karkwa, 2010, Olivier Grégoire, LeCollectif.ca

mardi 15 juin 2010

L'improbable rencontre dans les coulisses de Karkwa

Thomas Fersen et Fred Fortin : l'improbable rencontre

Thomas Fersen et Fred Fortin forment une paire inusitée. Leur association a pourtant donné lieu à un bel album de Fersen, Trois petits tours, enregistré au Québec avec des musiciens d'ici, puis à une tournée en Europe et au Québec. Avant de retrouver le copain français en studio pour son prochain disque, le gars du Lac-Saint-Jean lui rendra visite ce soir sur la grande scène des FrancoFolies.

Fred Fortin l'avoue d'emblée: Thomas Fersen l'a pris au dépourvu en lui demandant de réaliser son album Trois petits tours. Le Français a rencontré le gars du Lac lors d'un spectacle de Galaxie 500 à Paris, en 2006, et il lui a fait sa proposition dans les coulisses d'un spectacle de Karkwa aux FrancoFolies montréalaises, l'année suivante. (...)

lire la suite de l'article ici

Extrait de l'article d'Alain de Repentigny, dans La Presse.com, Publié le 15 juin 2010

Karkwa dans les influences francophone de Luc De Larochellière

FRANCOFOLIES DE MONTRÉAL

Un chanteur qui a le français à coeur

Il est revenu en force avec son nouvel album, Un toi dans ma tête. Luc De Larochellière présente son spectacle ce soir, dans le cadre des FrancoFolies, à la Place des Arts. Plus que jamais la passion l'habite. Réponses à des questions FrancoFolies. (...)

Quelles sont vos influences francophones ?

D'abord, la chanson québécoise des années 70 : Rivard, Harmonium, Séguin, Piché. Puis, les grands de la chanson: Ferré, Brel, Vigneault, Bashung, etc. Plus plein de trucs d'en ce moment: Karkwa, Vallières, Perreau.

Extrait de l'article de Michelle Coudé-Lord, Canoë, le 15-06-2010

Pour bonifier la trame sonore de Radio Radio

Le trio de rappeurs Radio Radio a mis le feu dimanche soir au Cabaret Juste pour rire, un peu plus de quatre mois après avoir lancé leur deuxième disque, Belmundo Regal. La foule hypercompacte a eu droit à une performance énergique et rebondissante, alimentée par le passage de quelques invités. (...)

Pour bonifier leur trame sonore (trop) souvent calquée sur celle du disque, Radio Radio a invité le temps de quatre ou cinq chansons Stéphane Bergeron et Julien Sagot, respectivement batteur et percussionniste du groupe Karkwa. Sacré mélange, pas vraiment naturel, mais plutôt réussi, particulièrement sur Tôm tôm, hymne ironique anti-djembé.

Extrait de l'article "Radio Radio: énergie au carré" de Philippe Papineau, Le Devoir.com, le 14 juin 2010

lundi 14 juin 2010

La scène québécoise est dans une phase d'évolution

Dans l'Express (France) :

Laurent Saulnier, directeur des Francofolies de Montréal et vice-président à la programmation se confie sur l'avenir de la musique québécoise.  

Désormais programmé au mois de juin et non plus en août pour attirer le plus grand nombre d'artistes européens, le grand festival de la chanson, cousin germain de La Rochelle, fait sa francofête jusqu'au 19 juin.

D'après vous, comment la musique québécoise a-t-elle évolué depuis dix ans? Et comment la France la perçoit-elle?

En bien ! Il y a eu émergence d'une scène musicale forte, imaginative et surtout sans tabou. Selon moi, la chanson en général s'est à la fois décomplexée et "déringardisée". Il faut aussi noter l'apport important des nouvelles technologies dans le son québécois - Par exemple, chez Yann Perreau, Orange Orange, Ariane Moffatt...

Quel avenir voyez-vous pour la chanson québécoise au Québec? Et en France? Et vice-versa ?

Qu'elle soit au Québec ou en France, la scène québécoise, incluant la chanson, est dans une phase d'évolution. Il y a d'un côté les artistes que l'on connait et que l'on aime - Karkwa, Malajube, Pierre Lapointe, Ariane Moffat. Et une nouvelle génération formée Monogrenade, Bernard Adamus, Patrick Pleau, Coeur de Pirate (voir sa Toy Session)... Voyant cette tendance, on se dit que l'avenir est bel et bien radieux ! 

La France a suivi le modèle québécois des quotas. Le Québec va-t-il suivre le modèle français dans sa lutte contre le piratage?

Non. Surement pas. La loi Création et Internet adoptée en France est déjà très (très) contestée. Tant que la loi n'aura pas été un succès et fait ses preuves, je ne vois pas que le Québec suivre dans les pas de la France.

Article de Gilles Médioni, L'Express (France) publié le 14/06/2010

Les percussions de Karkwa pour Radio Radio

Radio Radio aux FrancoFolies: un régal

Dans la série «show-que-je-n'étais-pas-supposée-couvrir-mais-que-je-suis-allée-voir-pareil-et-mosusse-que-c'était-une-bonne-idée», il y avait un incontournable : le premier des deux spectacles du trio Radio Radio, au Cabaret Juste pour rire (le deuxième a lieu lundi soir). C'est bien simple : l'été s'est arrêté au Cabaret, a l'accent chiac et porte des lunettes de soleil, tout en faisant monter la température en moins de deux.

Je vous jure, il devait faire au moins 36 degrés dans la salle «ultra foule» tant ça dansait et ça se démenait. D'abord vêtus de costards chics et d'élégantes lunettes «fumées» - ils se sont peu à peu déshabillés et ont fini en camisole ou en bedaine... - les trois gars de Radio Radio, accompagnés des percussionnistes Stéphane Bergeron et Julien Sagot de Karkwa et du bassiste Kim Ho, ont tout simplement transformé la salle en discothèque folle, en sauna sauvage, en jungle rythmique, bref en toutes sortes de choses agréables pour qui a un bassin et sait s'en servir. Même les porte-savons dans les toilettes des filles vibraient à l'unisson....

Interprétant la majorité des chansons de leur deuxième album Belmundo Régal (dont l'exceptionnel 9-Piece-Luggage-Set, Guess What, et Kenny G. non stop avec l'incandescente Whitney Lafleur aux choeurs) ainsi que plusieurs succès de leur premier disque Cliché hot (dont la chanson-titre, Forme elliptique, Rum Runner, Lève tes mains...), ils ont aligné les hymnes à la joie et à l'énergie - avec un carré d'as à la fin : Enfant spécial, Jacuzzi, la délirante Deckshoo et l'imparable Cargué dans ma chaise. Les rappels se sont multipliés et tout le monde est sorti épuisé, mais heureux, comblé, avec le sourire étampé dans la face et le goût de l'été jusqu'au bout des pieds «avec des pennyloafers ou avec des deckshoo» virtuels.

Article de Marie-Christine Blais, La Presse, Publié le 13 juin 2010

dimanche 13 juin 2010

De la pop au rock en toute légèreté…

Karkwa est probablement le groupe le plus prometteur au Québec aujourd’hui. Si la comparaison n’est pas tout à fait exacte, on pourrait qualifier ce groupe majeur de « Noir Désir québécois ». Véritable success story, Karkwa s’est formé en 1998 autour de Louis-Jean Cormier, chanteur / guitariste virtuose originaire de Sept-Iles, un bourg perdu dans le grand Nord. Karkwa dispose de quatre albums, dont deux disponibles en France : Le pensionnat des établis (2003), Les tremblements s’immobilisent (2005 – distribué en France par Anticraft), Le volume du vent (2008 – distribué en France par Wagram) et Les chemins de verre (2010). A chaque album, Karkwa se hisse en tête des ventes francophones au Canada grâce à ses compositions fraiches, organiques et spontanées. Si le groupe a fait quelques escales intimistes en France, leur impressionnisme musical ne semble pas prendre la même ascension qu’Outre Atlantique… http://www.myspace.com/karkwa

Extrait de l'article "Le Québec en Folies - un panorama des groupes québécois" Ecrit par Cap'tain Planet, dans Vacarm.net le 13-06-2010

samedi 12 juin 2010

Karkwa : Chaises interdites

Fiche artiste : Karkwa

Scène Molson Dry - Parc de la Francophonie

Dimanche 18 juillet -21:30 - Laissez-passer- Chaises interdites

Après avoir sillonné les routes pendant deux ans, les membres de Karkwa sont de retour pour présenter Les chemins de verre. Le premier extrait éponyme, en ondes depuis le 16 mars, a annoncé les couleurs de l’album succédant au consacré Le volume du vent. Exempte d’une longue préproduction, la réalisation de ce quatrième disque a pris une nouvelle tangente, se distinguant par son angle plus impressionniste et organique. Rappelons que Karkwa a raflé le prix Miroir de la chanson d’expression française du Festival d’été de Québec en 2009.

vendredi 11 juin 2010

Preparing for Polaris

The countdown is on. It's Polaris Prize time again, and this week (June 8th at 11:59pm to be precise) the first ballots were due from jurors. The long list of 40 albums will be announced in 7 days and that'll be whittled down to ten in about a month and a half.

For those not familiar with Polaris, it's an annual award that honours "creativity and diversity in Canadian recorded music" by recognizing by the best album of the year, regardless of sales, popularity or anything else. The prize is picked by a jury of about 175 plus writers, critics, radio hosts, bloggers, other music types. There's more than a few Montreal acts contending for a spot on the long and short lists, from local darlings Plants and Animals, to twisted hip hopper Ira Lee, to franco favourites Karkwa, to shoe-gazers My People Sleeping and more. (...)

Karkwa - Les Chemins de Verre

Karkwa is one of the best benefits to come out of living in Montreal. I'm not sure how much traction they have outside this city/province, and I highly doubt I would have stumbled across them if I had moved anywhere else. Their last albums, Le Volume Du Vent, was one of my favourites of 2008. I think I was initially drawn to them because they sounded like a French version of Radiohead, but this album has them pulling on sounds from a range of respected rock acts (Beatles, Broken Social Scene, Patrick Watson). It's got moody guitars and pulsing beats, but it's well worth a listen. The lyrics are great too, even if I only catch half of them. 

Posted by Jer in Music, Midnight Poutine, June 10, 2010

mercredi 9 juin 2010

Les Chemins De Verre by Karkwa

I admit, it can be somewhat strange to listen to music in a language you don't understand. As someone that pays attention to both music and lyrics, being cut off from half that experience can make it harder to really get into a band. Harder, but not always impossible (one of my favourite bands, for instance, sings both in a language I don't understand, and one that no one understands).

The band in question here is Montréal's Karkwa -- who amazed me away the minute I first saw them live, in a show where they blew out a speaker at the Biltmore -- and Les Chemins De Verre is their fourth album. From what I can piece together through my own (very limited and rusty) French and Google Translate (there are not a lot of English articles on the album, which is a great shame) it was recorded partially in Paris, with very little preproduction; a lot of it was based on spontaneity, improvisation and impulse. It was about capturing a moment, not recreating it, and the album somehow manages to be more complex, yet more accessible than their previous, Le Volume De Vent.

"Le pyromane" starts, appropriately enough, with a crackling fire before the band kicks in, gradually building to a roaring blaze, and introduces their rich and lush wall of sound which continues right into "L'acouphène". The gorgeous "Moi-léger" slows things down, at first driven solely by a piano, but one by one the full band joins in finally basting in full force, only to drop back out at the end. "Marie, tu pleurs" is a more upbeat and catchy track that is impossible not to join in on the handclaps, and it leads well into "Le bon sens", whose seemingly cheery beginning seems to hint at something darker, that kicks in midway through the song. The first single from the album, "Les chemins de verre" brings the high energy back as it races through, only pausing briefly to catch its breath before screeching to a halt.
 
"Dors dans mon sang" is breathtakingly beautiful, featuring a heartbreaking piano that melds first with Louis-Jean Cormier's haunting voice, then a chorus of ooh's as it swells and intertwines with well placed feedback, before suddenly dropping, ending again with Cormier over light piano.
 
This is juxtaposed by the frantic "La piqûre" which sees the layers voices and cacophony of noise adding to the frenzy, and segueing into "Les enfants de Beyrouth", keeping up the same level of intensity with its plinking piano keys. The moody "Au-dessus de la tête de Lili-June" is mostly spoken word, and the layered, repeating lines -- along with the sparse music, and even the tone of voice -- makes it sound creepy as hell. But "28 jours" comes in light and calm, melodic and almost reassuring and it, too, builds to a grand ending, though never shedding its optimism. "Le vrai bonheur" ends as the album began, with a cracking fire in the background, and a song that seems, thematically, the opposite of the opening track, and gives you a feeling that lives up to the title.

It is kind of amazing how something like this can instill so much emotion. No, I do not understand what he is singing, and yes, I am just hearing his voice as another instrument; but despite that, I am filled with a variety of emotions throughout the album. Maybe even more so that songs that I understand, as with these there is more room for interpretation. That is why I am afraid to find out the translations of the songs. Sure, part of me does wants to go through each song and find out what they mean, but I fear that this would ruin them for me. That it would be drastically different from what it is in my mind. And to say nothing of the poetry of the songs. No doubt the translations would never match up perfectly and would most likely come across clunky and awkward.
 
I may not ever fully understand the meaning behind the songs, but what I do know is that the five members of Karkwa are all brilliant, and that Les Chemins De Verre will no doubt end up being one of my favourite albums of the year.

Tuesday, June 8, 2010

dimanche 6 juin 2010

Les Chemins de Verre : un vaccin pour les allergiques

Chronique de disque publié sur le site français "Tatapoum" :

Tatapoum est un site de chroniques de disques. Historiquement lié à la liste de diffusion Lenoir Liste, aujourd'hui disparue et remplacée par NowPlaying

Les Chemins de verre

format :  lp
date de parution : mardi 30 mars 2010
label : Audiogram
auteurs :  Karkwa
ajouté par : wilcow le 06/04/2010
appréciation (4.5 /5 avec un votant). par djeepthejedi

Affranchi de ses influences, Karkwa fait désormais du Karkwa. Ils ne se contentent plus de copier les groupes anglophones à la mode, ils s'affirment, ils créent, expérimentent et osent même les harmonies vocales. Je trouve le groupe comme transfiguré et désormais plus sur de lui, les textes et les mélodies sont solides, leur musique est plus spontanée et émouvante.

Ce nouvel album est beaucoup plus sobre et épurée, ce qui m'agaçait autrefois chez eux a disparu, cette fois-ci je peux les écouter en boucle, ça ne m'irrite plus, "dors dans mon sang" est le must de ce qu'on peux faire avec une phrase et 4 notes de piano. Voilà le disque que je recommande à tout ceux qui sont allergique à Karkwa, cet album est votre vaccin, commencez donc par "la piqure" et pour conclure sur "28 jours" envoutant. 

(02/06/2010)

Moi-Léger / Karkwa

"Y avait l'hiver, y avait le froid qui me tuait
Mais là c'est pu important
Y avait le temps, y avait les âges qui défilaient
Mais là je m'en fous vraiment

C'est un passage obligé
Un long couloir à creuser
Entre moi et moi-léger
C'est une chanson de lumière
L'étape après la misère
L'émotion d'un courant d'air

Y avait les filles, y avait le rock qui nous saoulait
Mais là c'est pu important
Y avait les routes, y avait les trous que l'on grugeait
Mais c'est de moins en moins pesant

C'est un passage obligé
Un long couloir à creuser
Entre moi et moi-léger
C'est comme un nouveau printemps
Un plongeon dans l'océan
C'est comme le vin dans le sang

Y avait la guerre, y avait les droits qui nous mentaient
Mais là c'est moins prenant
Y avait le ciel, y avait les dieux qui me hantaient
Mais là je m'en fous vraiment.

C'est une chanson de lumière
L'étape après la misère
L'émotion d'un courant d'air."

Publié par Stephy Prud. sur blog "points d'récupération"

samedi 5 juin 2010

Land of Talk et Karkwa !


18 juillet 2010  Scène Molson Dry - Le Pigeonnier
 
LAND OF TALK ET KARKWA !

Quelle clotûre parfaite. D'ailleurs, je vous invite à écouter quelques chansons de Karkwa qui ont été traduites en anglais par Jim Corcoran et qui sont interprétées avec Elizabeth Powell (Land of Talk). Ça va être un show hypnotisant et un pigeonnier plein à craquer.

BON FESTIVAL !

Extrait de l'article FESTIVAL D'ÉTÉ DE QUÉBEC sur le blog 'La* RECRATIVE"

Carte blanche à Karkwa

Une simple carte blanche, comme celle à Karkwa cette année, au Festival d'été, peut être synonyme de moments magiques.

Extrait de l'article "Ces festivals qui «think big»", Nicolas Houle, Le Soleil, Publié le 05 juin 2010

vendredi 4 juin 2010

Karkwa brisera la glace le 24 septembre

Avec le lancement de sa première programmation professionnelle, le Carrefour culturel ESTacade entend bien amener un vent de fraîcheur à la Salle Desjardins.

«La présentation de notre programmation est, pour notre équipe, le résultat le plusieurs heures de travail et marque une étape importante dans le développement du Carrefour culturel ESTacade», avoue Pierre Boileau, président.

C’est donc sous le thème Un vent de fraîcheur que la Salle Desjardins accueillera les artistes de sa première programmation professionnelle, en misant sur la proximité physique entre les spectateurs et les artistes pour offrir des Soirées intimes.

Karkwa brisera la glace de ces soirées intimes le 24 septembre prochain, avec son spectacle Les chemins de verre. (...)

Extrait de l'article "Une première programmation professionnelle remplie de fraîcheur" de Marie Pier Lécuye, info07.com, Publié le 4 Juin 2010

Festival d'été de Québec, Karkwa en clôture d'évenement

De l’émotion, de la chanson francophone et populaire, du rock, du hip-hop, du jazz, du blues, de la musique classique et, bien sûr, quantité de musiques du monde, voilà l’offre du 43e Festival d’été de Québec. De quoi sustenter les festivaliers de toutes allégeances musicales ! (...)

Les francophiles seront également heureux d’apprendre que le groupe québécois, Karkwa, dont le nouvel album Les chemins de verre cartonne au top 10 des meilleurs vendeurs francophones au Canada, récidivera sur la scène Molson Dry du parc de la Francophonie, le 18 juillet, en clôture d’événement. 

jeudi 3 juin 2010

Karkwa au festival d'été de Québec

Sur Radio-Canada : Les organisateurs du Festival d'été de Québec ont complété jeudi le dévoilement de la programmation de la 43e édition du festival, qui se tiendra du 8 au 18 juillet. (...)

En clôture du festival, le 18 juillet, le groupe québécois Karkwa présentera les pièces de son dernier album, Les chemins de verre, sur la scène du parc de la Francophonie. (...)

Dans Voir.ca : Alors que le groupe Karkwa est au sommet du palmares francophone au Canada avec son tout dernier et génial album, Les Chemins de verre, il était tout indiqué qu'encore une fois cette année le band clôture le festival, cette fois au Pigeonnier, le 18, avec Land of Talk et Elvis Perkins in Dreamland pour ouvrir la soirée. 

Dans Showbizz.net : The Frequency, Dengue Fever et Thievery Corporation se produiront sur la Scène Molson Dry du Pigeonnier le 15 juillet. Le 18, au même endroit, on assistera aux prestations de Karkwa, dont la présence au FEQ planait depuis un bon moment, Land of Talk et Elvis Perkins in Dearlands.

Dans Le Soleil : Karkwa sévira le 18 avec un concert en formule «carte blanche», où les Québécois ont invité Elvis Perkins in Dearland et Land of Talk.

Sans aucun doute un des albums de l’année 2010

Déjà un quatrième album pour la formation Karkwa. Je me souviens encore du lancement du premier album, en 2003, comme si c’était hier. On sentait déjà que ce groupe allait un jour dominer la scène musicale du Québec. Malgré les Félix remportés, les critiques dithyrambiques, le groupe ne s’assoit pas sur ses lauriers, continue à faire à sa tête et à façonner un son qui lui est propre.

Une des premières choses qui m’a frappé, c’est à la fois cette distance entre ce quatrième opus et le tout premier du quintet et cette logique évolution entre les deux. Si on les écoute l’un après l’autre, le chemin parcouru frappe, et, pourtant, l’évolution s’est fait si naturellement, à coups de petits pas sur chacun des albums, que l’amateur n’est pas du tout dérouté. On ne peut plus, maintenant, faire des rapprochements avec Radiohead, leur « maudite » référence habituelle des débuts, si ce n’est que les deux groupes réussissent à faire une pop intelligente, raffinée, à la fois éclatée, atmosphérique, rythmée et enivrante, gagnant les fans de musique pop et gardant le respect de la scène indépendante.

Pour ce quatrième album, les musiciens ont pratiquement improvisé dans le studio. Pas de chanson travaillée durant des mois, les arrangements se sont faits au fur et à mesure. Les apparences nous font croire à une musique épurée, mais plusieurs segments remettent ces croyances à leur place. On sent un rapprochement avec Patrick Watson dans ses grandes respirations aériennes contrastant avec les sections rythmiques frondeuses. Tantôt on côtoie le folk, le post-rock, la pop, la ballade ou le rock, mais à la couleur Karkwa, un son qui leur est propre et unique.

Au final, une poésie laissant à l’auditeur faire sa propre interprétation, une musique aux mélodies confortables comme une chaude couverte sans être facile, mais surtout le reflet de cinq musiciens maîtrisant encore plus leurs instruments, leur complicité et qui ne semblent pas, malgré tout, au bout de leur créativité et collaboration. Sans aucun doute un des albums de l’année 2010.

Extrait d'un article paru sur le site de "barbe Brune" le 2 juin 2010

mercredi 2 juin 2010

Karkwa Mont-Saint-Hilaire le 7 juillet

Mercredi 7 juillet : Karkwa

Ayant fait paraître récemment leur quatrième album Les chemins de verre, la musique de Karkwa a gagné l’estime du public et des critiques. Formé en 1998, le groupe a remporté de nombreux prix Félix en plus d'être nommé Sacré talent 2006. Un spectacle pop-rock qui promet !

Information sur le groupe : www.karkwa.com

Messages les plus consultés

Avertissement: Ce blog à pour but de regrouper et archiver les articles parus sur le net à propos de Karkwa. Il est fait par amitié pour les membres du groupe et leur entourage. Les liens vers les sites et articles d'origine sont faits, les auteurs sont cités lorsque possible. Si quiconque se sentait lésé dans ses droits, il n'aurait qu'a me contacter pour que je puisse remédier à la situation.