Si vous avez manqué Karkwa… où donc étiez-vous?
La joyeuse bande a tenu à terminer l’année à Québec... et à amorcer la nouvelle ici, aussi!
Karkwa au Grand Théâtre de Québec, le 13 décembre 2008
Karkwa ou comment terminer l'année en beauté
Par : Christine Rousseau, impact Campus, le 13/01/09
Alors que la fébrilité était palpable chez les membres de Who Are You, qui ouvraient la soirée et qui ont offert une solide prestation, c’est la joie et l’allégresse qui s’affichaient sur les visages de la bande de Louis-Jean Cormier, très contente de fêter avec le public du Grand Théâtre – qui faisait salle comble pour l’occasion – leur dernier spectacle d’une année 2008 bien remplie.
Et ils sont beaux à voir aller sur scène, les gars de Karkwa. Un quintette tissé serré, dont le plaisir et la complicité transparaissent et donnent une âme à la performance.
Dès les premières notes de «Le Compteur», la charge musicale était lancée. Les musiciens sonnaient top synchro et les rythmes du Volume du vent, leur plus récent opus, mais aussi des Tremblements s’immobilisent, le précédent, se sont enchaînés avec force, entraînant le public – qui ne demandait pas mieux – dans un univers envoûtant où Karkwa était roi. Une sensation de planage qui ne peut être provoquée par nul autre que Karkwa. Wow!
Éclairages hallucinants
À souligner, la performance magistrale de François Lafontaine, un dieu des claviers – et tout encravaté pour l’occasion – et le travail des Mathieu de la formation (Parisien et Roy) au son et à l’éclairage, des éclairages qui occupent la scène et s’intègrent parfaitement à la musique, ajoutant à l’atmosphère planante.
À parier que le spectacle du 2 janvier a été tout aussi éblouissant.
Merci Karkwa!
La joyeuse bande a tenu à terminer l’année à Québec... et à amorcer la nouvelle ici, aussi!
Karkwa au Grand Théâtre de Québec, le 13 décembre 2008
Karkwa ou comment terminer l'année en beauté
Par : Christine Rousseau, impact Campus, le 13/01/09
Alors que la fébrilité était palpable chez les membres de Who Are You, qui ouvraient la soirée et qui ont offert une solide prestation, c’est la joie et l’allégresse qui s’affichaient sur les visages de la bande de Louis-Jean Cormier, très contente de fêter avec le public du Grand Théâtre – qui faisait salle comble pour l’occasion – leur dernier spectacle d’une année 2008 bien remplie.
Et ils sont beaux à voir aller sur scène, les gars de Karkwa. Un quintette tissé serré, dont le plaisir et la complicité transparaissent et donnent une âme à la performance.
Dès les premières notes de «Le Compteur», la charge musicale était lancée. Les musiciens sonnaient top synchro et les rythmes du Volume du vent, leur plus récent opus, mais aussi des Tremblements s’immobilisent, le précédent, se sont enchaînés avec force, entraînant le public – qui ne demandait pas mieux – dans un univers envoûtant où Karkwa était roi. Une sensation de planage qui ne peut être provoquée par nul autre que Karkwa. Wow!
Éclairages hallucinants
À souligner, la performance magistrale de François Lafontaine, un dieu des claviers – et tout encravaté pour l’occasion – et le travail des Mathieu de la formation (Parisien et Roy) au son et à l’éclairage, des éclairages qui occupent la scène et s’intègrent parfaitement à la musique, ajoutant à l’atmosphère planante.
À parier que le spectacle du 2 janvier a été tout aussi éblouissant.
Merci Karkwa!
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