Geneviève Vézina-Montplaisir, Métro, 10 octobre 2008 05:00
photo : yves provencher/métro
Louis-Jean Cormier, le chanteur de Karkwa, ne semblait pas du tout stressé à l’idée de faire sa rentrée montréalaise hier soir.
C’est devant un Club Soda plein à craquer que Karkwa a fait sa rentrée montréalaise hier soir. Après avoir eu un aperçu de ce que pouvaient donner sur scène les pièces planantes du dernier album de la formation aux FrancoFolies cet été, les fans en voulaient plus. Et ils ont été servis!
Louis-Jean Cormier et sa bande ont joué presque tous les titres du Volume du vent.
La soirée a d’ailleurs débuté au son des xylophones de la pièce Le compteur, des instruments très présents sur le dernier disque de la formation.
Karkwa s’est présenté sur scène devant une grande toile de plastique qui cachait de gros spots lumineux. La fameuse toile s’est toutefois détachée dès la première chanson. Ce petit incident n’a cependant pas empêché le groupe de faire ce qu’il avait à faire : jouer de la musique.
La petite grippe du chanteur Louis-Jean Cormier serait elle aussi passée inaperçue s’il ne l’avait pas mentionnée à la foule après avoir terminé la deuxième chanson du spectacle, M’empêcher de sortir, du deuxième album du quintette, Les tremblements s’immobilisent.
Rock sophistiqué
Après 10 ans à faire de la musique ensemble, Louis-Jean Cormier, Stéphane Bergeron, Julien Sagot, Martin Lamontagne et François Lafontaine sont en pleine possession de leurs moyens musicaux.
Le volume du vent l’a prouvé sur disque, avec ses effets aériens, et parfois même hypnotiques, et sur scène, le résultat crée une atmosphère très particulière.
La foule a d’ailleurs apprécié les pièces soignées et mélodiques du troisième album comme Échapper au sort, Le temps mort et Oublie pas, ainsi que les pièces plus rock du deuxième album, La marche, L’épaule froide et Vrai.
Il n’y a pas à dire, Kwarka s’est fait plaisir hier en multipliant les longues envolées musicales. Le public a semblé aimer un des groupes les plus talentueux de sa génération, et nous aussi.
photo : yves provencher/métro
Louis-Jean Cormier, le chanteur de Karkwa, ne semblait pas du tout stressé à l’idée de faire sa rentrée montréalaise hier soir.
C’est devant un Club Soda plein à craquer que Karkwa a fait sa rentrée montréalaise hier soir. Après avoir eu un aperçu de ce que pouvaient donner sur scène les pièces planantes du dernier album de la formation aux FrancoFolies cet été, les fans en voulaient plus. Et ils ont été servis!
Louis-Jean Cormier et sa bande ont joué presque tous les titres du Volume du vent.
La soirée a d’ailleurs débuté au son des xylophones de la pièce Le compteur, des instruments très présents sur le dernier disque de la formation.
Karkwa s’est présenté sur scène devant une grande toile de plastique qui cachait de gros spots lumineux. La fameuse toile s’est toutefois détachée dès la première chanson. Ce petit incident n’a cependant pas empêché le groupe de faire ce qu’il avait à faire : jouer de la musique.
La petite grippe du chanteur Louis-Jean Cormier serait elle aussi passée inaperçue s’il ne l’avait pas mentionnée à la foule après avoir terminé la deuxième chanson du spectacle, M’empêcher de sortir, du deuxième album du quintette, Les tremblements s’immobilisent.
Rock sophistiqué
Après 10 ans à faire de la musique ensemble, Louis-Jean Cormier, Stéphane Bergeron, Julien Sagot, Martin Lamontagne et François Lafontaine sont en pleine possession de leurs moyens musicaux.
Le volume du vent l’a prouvé sur disque, avec ses effets aériens, et parfois même hypnotiques, et sur scène, le résultat crée une atmosphère très particulière.
La foule a d’ailleurs apprécié les pièces soignées et mélodiques du troisième album comme Échapper au sort, Le temps mort et Oublie pas, ainsi que les pièces plus rock du deuxième album, La marche, L’épaule froide et Vrai.
Il n’y a pas à dire, Kwarka s’est fait plaisir hier en multipliant les longues envolées musicales. Le public a semblé aimer un des groupes les plus talentueux de sa génération, et nous aussi.
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