Par Gilles Médioni, l'Express.fr, le 21/08/2008
Karkwa, emmené par son chanteur, Louis-Jean Cormier, impose un rock solide et sensible.
Cousins pop de Malajube, dont ils sont proches, Karkwa, mené par Louis-Jean Cormier, impose un rock solide, intense et sensible depuis 1998, date où le groupe s'est formé, lors du concours Cégeps du spectacle, où ils arrivent en demi-finale. Trois albums aux noms de tableaux - Le Pensionnat des établis, Les tremblements s'immobilisent et Le Volume du vent - ont imposé leur côté sombre et leur « son d'hiver », disent-ils, marqué par l'emploi de xylophones et de vibraphones, populaires dans les groupes nordiques. On les a comparés un temps à Radiohead. Mais Karkwa sait brouiller les pistes, se revendiquer de Steve Reich et de Philip Glass, célébrer le bonheur (Solstice) comme dénoncer les fléaux du siècle (A la chaîne, à propos des enfants esclaves).
Cousins pop de Malajube, dont ils sont proches, Karkwa, mené par Louis-Jean Cormier, impose un rock solide, intense et sensible depuis 1998, date où le groupe s'est formé, lors du concours Cégeps du spectacle, où ils arrivent en demi-finale. Trois albums aux noms de tableaux - Le Pensionnat des établis, Les tremblements s'immobilisent et Le Volume du vent - ont imposé leur côté sombre et leur « son d'hiver », disent-ils, marqué par l'emploi de xylophones et de vibraphones, populaires dans les groupes nordiques. On les a comparés un temps à Radiohead. Mais Karkwa sait brouiller les pistes, se revendiquer de Steve Reich et de Philip Glass, célébrer le bonheur (Solstice) comme dénoncer les fléaux du siècle (A la chaîne, à propos des enfants esclaves).
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