Diane Tell au Cabaret Music-Hall - À nouveau s'éprendre d'elle
Extrait de l'article de Sylvain Cormier, publié le 29 novembre 2005 dans le Devoir
Est-ce parce qu'elle a commencé Je pense à toi comme je t'aime dans la mauvaise tonalité et qu'elle a pouffé de rire? Est-ce parce que la Diane Fortin en elle lui revenait de plus en plus naturellement dans la syntaxe à mesure que le spectacle avançait («Ça vas-tu bien?», s'est-elle enquérie à mi-course)? Est-ce parce que sa famille était descendue de Val D'Or? Est-ce parce qu'elle assurait en toute simplicité — dans son incarnation jazzy acoustique des années 70-80 — sa propre première partie? Est-ce parce qu'elle a su s'entourer de fortiches jeunes musiciens d'ici (dont l'excellent Louis-Jean Cormier de [karkwa] à la guitare) qui conféraient à ses chansons récentes et moins récentes la même belle agressivité dans l'approche? Était-ce la petitesse du Cabaret Music-Hall, qui permettait avec le public une familiarité qu'on lui ignorait?
Extrait de l'article de Sylvain Cormier, publié le 29 novembre 2005 dans le Devoir
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