En général, les albums pop francophones québécois à gros budget restent trop frileux. De peur d’ébranler l’auditeur, on n’ose pas trop se distancier d’une certaine recette commerciale. Heureusement, Karkwa détonne de ses pairs et accouche d’un album rock planant et audacieux.
Non seulement les musiciens du quintette assimilent-ils parfaitement leurs influences britanniques (lire Radiohead, les Beatles, Led Zeppelin), mais ils y infusent suffisamment de leur personnalité et de leur virtuosité pour outrepasser la comparaison.
Les pièces Vertige (un noise rock moderne) et Les Vapeurs (un titre progressif rendu extrêmement poignant grâce à l’interprétation de Louis-Jean Cormier et l’ajout de violons) valent à elles seules l’achat du compact sans moment faible. La beauté et l’urgence des arrangements de guitares, de piano et de claviers vous renverseront. Un incontournable automnal.
Article du 10 novembre 2005 par Olivier Robillard Laveaux dans Voir.ca
Non seulement les musiciens du quintette assimilent-ils parfaitement leurs influences britanniques (lire Radiohead, les Beatles, Led Zeppelin), mais ils y infusent suffisamment de leur personnalité et de leur virtuosité pour outrepasser la comparaison.
Les pièces Vertige (un noise rock moderne) et Les Vapeurs (un titre progressif rendu extrêmement poignant grâce à l’interprétation de Louis-Jean Cormier et l’ajout de violons) valent à elles seules l’achat du compact sans moment faible. La beauté et l’urgence des arrangements de guitares, de piano et de claviers vous renverseront. Un incontournable automnal.
Article du 10 novembre 2005 par Olivier Robillard Laveaux dans Voir.ca
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