Karkwa était visiblement heureux de jouer à Rouyn. Sa dernière présence remontait à la première édition du festival en 2003. Très bon show, malgré quelques pépins techniques. Le clavier de François Lafontaine a manqué de courant. Oups! Ce qui rappelle les événements qui ont conduit aux sautes d'humeur de Rich White de The Besnard Lakes. Pas grave, Louis-Jean Cormier a géré la situation avec sérénité.
Extrait de l'article "Musique émergente, Escapade à Rouyn, jour 3" d'Hubert Rioux, Camuz.ca
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