Les gars de Karkwa ont, comme promis, tout donné. Photo Chantal Poirier
Karkwa donnait dans un Métropolis en feu et rempli à craquer le dernier spectacle montréalais de la tournée de son troisième album, Le volume du vent. « On va tout donner jusqu’à ce que le moteur saute », a même promis en début de spectacle Louis-Jean Cormier, le leader du groupe.
On constate d’abord que ce moteur est drôlement bien huilé. Sur scène, les gars de Karkwa ont atteint une cohésion impressionnante. Un mélange bien dosé d’énergie brute, d’harmonies, de recherche musicale et d’expérimentations sonores.
Louis-Jean Cormier et sa bande ont ouvert le bal avec Le Compteur, premier titre du génial album Le volume du vent, avant d’enchaîner avec une version remaniée de M’empêcher de sortir (tirée du disque précédent). On a ensuite eu droit à Échapper au sort, Le temps mort et Le coup d’état, toutes interprétées de façon impeccable.
Marie-Pierre Arthur (qui assurait la première partie) est venue se joindre à Cormier pour chanter Oublie pas, avant que le groupe remette la pédale au fond avec Deux lampadaires. Ç’a continué ainsi pendant deux heures. Le moteur n’a pas sauté mais les gars de Karkwa ont, comme promis, tout donné.
Extrait de l'article de Maxime Demers, Rue Frontenac, Samedi, 08 août 2009
Karkwa donnait dans un Métropolis en feu et rempli à craquer le dernier spectacle montréalais de la tournée de son troisième album, Le volume du vent. « On va tout donner jusqu’à ce que le moteur saute », a même promis en début de spectacle Louis-Jean Cormier, le leader du groupe.
On constate d’abord que ce moteur est drôlement bien huilé. Sur scène, les gars de Karkwa ont atteint une cohésion impressionnante. Un mélange bien dosé d’énergie brute, d’harmonies, de recherche musicale et d’expérimentations sonores.
Louis-Jean Cormier et sa bande ont ouvert le bal avec Le Compteur, premier titre du génial album Le volume du vent, avant d’enchaîner avec une version remaniée de M’empêcher de sortir (tirée du disque précédent). On a ensuite eu droit à Échapper au sort, Le temps mort et Le coup d’état, toutes interprétées de façon impeccable.
Marie-Pierre Arthur (qui assurait la première partie) est venue se joindre à Cormier pour chanter Oublie pas, avant que le groupe remette la pédale au fond avec Deux lampadaires. Ç’a continué ainsi pendant deux heures. Le moteur n’a pas sauté mais les gars de Karkwa ont, comme promis, tout donné.
Extrait de l'article de Maxime Demers, Rue Frontenac, Samedi, 08 août 2009
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