Sur Bangang, un article fort intéressant de Simon Jodoin sur l'historique de la SOPREF et des musiques émergentes du Québec et de Montréal en particulier. Extrait :
La scène locale alternative et émergente a ensuite connu l’essor qu’on connaît et la partie s’est jouée en fonction de la position des pièces déjà présentes sur l’échiquier. De petites étiquettes de disque, à l’image d’Indica, allaient se multiplier (Bonsound, Dare To Care, C4, etc.). De plus gros joueurs comme La Tribu, Audiogram ou encore GSI avec La Confiserie allaient signer des groupes émergents souvent issus des Francouvertes (Les Cowboys Fringants Loco Locass, Karkwa, Navet Confit, etc.). La SOPREF et Local Distribution allaient donner la possibilité à des artistes autoproducteurs, par choix ou par dépit, de mettre en marché leurs productions.
La scène locale alternative et émergente a ensuite connu l’essor qu’on connaît et la partie s’est jouée en fonction de la position des pièces déjà présentes sur l’échiquier. De petites étiquettes de disque, à l’image d’Indica, allaient se multiplier (Bonsound, Dare To Care, C4, etc.). De plus gros joueurs comme La Tribu, Audiogram ou encore GSI avec La Confiserie allaient signer des groupes émergents souvent issus des Francouvertes (Les Cowboys Fringants Loco Locass, Karkwa, Navet Confit, etc.). La SOPREF et Local Distribution allaient donner la possibilité à des artistes autoproducteurs, par choix ou par dépit, de mettre en marché leurs productions.
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