Sur le blogue de "my two öres" :
Dans l’air bulldozer de tous ces blogueurs dehors
Sans crier gare, Karkwa a pondu un nouvel album. Les critiques se sont emballés, l’accueil fut formidable. Et moi, je viens un peu péter le party. Vraiment désolé, ignorez-moi et remettez les chapeaux pointus et faites retentir vos gazoos.
Les articles que j’avais lu avant la sortie m’avaient préparé à quelque chose de très schizophrénique entre les chansons sombres et joyeuses. C’est plutôt vrai mais, je dois avouer que le côté noir (du moins musicalement) m’a beaucoup plus accroché. J’aime beaucoup les chansons comme Le bon sens, Les chemins de verre et La piqûre alors que Marie, tu pleurs et Le vrai bonheur me laissent un peu indifférent. Peut-être que ça changera avec le temps, qui sait, mais en attendant, l’album s’écoute beaucoup moins bien d’un coup que son prédécesseur Le volume du vent qui était étonnamment bien équilibré et plus cohérent.
Extrait du l'article "le temps file", publié par Rémi Boucher le 14 avril
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