Vous le savez déjà, le Festival d’Été de Québec a été un méga succès. Record de ventes de macaron/laissez-passer, record de foules, record de gros nom, record de chaleur, record de records, etc. Pourtant, quand la première programmation est sortie, je m’attendais à un festival bien fade pour moi. Certes, une avalanche de gros noms sur les Plaines, mais les scènes plus alternatives étaient pauvres à ce moment-là.
Finalement, le Cercle et l’Impérial ont présenté ce qu’ils accueilleraient quelques semaines plus tard, des noms se sont ajouté au Parc de la Francophonie et j’ai finalement eu de quoi me mettre sous la dent presque tous les jours. Des bons trucs, mêmes!
Parmi mes moments dont je me souviens encore tout en souriant: The Slew et leur gros rock bluesé accompagné de tables tournantes à l’Impérial; Holy Fuck qui a été égal à lui-même: savoureux; Dance Laury Dance qui m’a surpris par sa forte présence et son rock cliché mais efficace; Think About Life qui est toujours aussi charmant, même lorsqu’il est mal placé; Woodhands qui m’a accroché par son simpliste mais énergique et sucré électro; Arcade Fire, parce que c’était enfin la première fois; Caribou pour son intensité (et peut-être même MON spectacle du festival); Fred Fortin, parce qu’il est aussi dans mon top 3 de cette année; Bernard Adamus parce que c’est bon tout court ce qu’il fait et que le public a créé un beau moment; Karkwa, parce que je n’ai pas besoin de préciser pourquoi ils sont toujours aussi bons; et finalement Le Golden pour leurs improvisations aux envolées électro, hip hop et jazzé. (...)
Extrait de l'article "FEQ et OFF 2010: finalement, c’était bien" de Mickaël B, la Barbe, le 23 juillet 2010
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire