Karkwa la grande réunion d'octobre 2017

Karkwa la grande réunion d'octobre 2017

Depuis la pause de décembre 2011

Retrouvez les news sur SCOOP.IT !

vendredi 30 juillet 2010

Karkwa refait le volume du vent ?

Les Grands Airs de Varennes : un festival unique au Québec pour les amateurs de vent

La Ville de Varennes, en collaboration avec Loto-Québec, présente Les Grands Airs de Varennes, du 13 au 15 août prochains, au parc de la Commune. Le festival se veut être le point de rencontre des passionnés du vent, un concept de festival unique au Québec qui propose des activités familiales, des démonstrations hautes en couleur et un programme musical pour tous les âges.

Une fois de plus cette année, le parc de la Commune sera aménagé selon différentes sections thématiques qui permettront aux petits et grands de profiter des activités et présentations. Comme le veut la tradition, les cerfs-volistes amateurs pourront faire voler leur cerf-volant et faire le plein d’expérience en côtoyant et en observant les professionnels. Grâce à la collaboration des commanditaires, le public aura le privilège d’observer différentes démonstrations de cerfs-volants monocordes et acrobatiques.

Afin de souligner les cinq ans des Grands Airs de Varennes, des jeunes Varennois préparent depuis quelques semaines un cerf-volant collectif, une œuvre immense qui saura éblouir les festivaliers.

Un spectacle grandiose aura lieu dans le ciel de Varennes le samedi 14 août à 22h, après le spectacle de Karkwa. Éclairés par plus de 30 000 watts de lumière, cerfs-volants et parapentes danseront au rythme des vibrations et de la musique lors de cette envolée de nuit.

La programmation complète sera disponible sur le site Internet de la Ville de Varennes, à l’adresse suivante: www.ville.varennes.qc.ca

La Seigneurie - 30 juillet 2010

mardi 27 juillet 2010

The new french-Canadian innovators of popular music

KARKWA

Stunningly put together semi- orchestral style pop with nothing but strong underlying hard hitting grooves. Drums and rythmic guitars,  unexpected twists of language and subtle but memorable melodies. You may start with this song, “Oublie Pas

French Canadian music rises and conquers-the new quebecois aesthetic

Long gone are the deep-rooted associations stemming from my childhood concerning the artistic musical output of “La Province de Quebec”. There was, “jadis”, a great heritage of traditional music in my native territory, and then of new folklore as well, from early traditonal “chansons” to the troubadour icons of the 60′s and 70′s and beyond, see Beau Dommage, Harmonium, Richard Desjardins

There has been, however, an outside perception of bad taste, with a capital B, interweaved with Quebec’s musical identity. It is one associated as this by my 25-45 generation, at least, one of whose extension is perhaps unmeasurable, but is at a bare minimum acknowledged. Child of the 80′s and 90′s, victims of Eric Lapointe, Celine Dion, France D’Amour, or more currently Linda Lemay,Marie-Mai and the like, my fellow adolescent peers and I maybe expected more of a people born brave, intelligent and passionate. This is of course, is merely an opinion. Let’s just say it did not give me anything to look up to or motivate me as an artist. There were always exceptions (Les Colocs anybody?), but never a aggregate representing, and leading, something ground-breaking.

And so I stopped paying attention. My terrible mistake and loss. While i was busy catching on to every new trend band and their possibly (or not) relevant innovations and important contributions to the collective destiny of popular music, while i was busy thinking these were of english language only, by default, some great things were stirring all around me in my native province, unnoticed by my prejudice.

While bands like Arcade Fire or Bright Eyes, to name just two, have etched new paths for the contemporary sound of quality, Quebec has evolved an equally rich an interesting scope of new frontier french music, inticingly interesting and significant. Much like its creators and their humbly segregated cultural reality, it is refreshingly un-ostentatious. Yet it is making waves.

Let me walk you through a few examples of some music you should get to knowing. Yes, it does help if you understand the language, but i don’t think that is a necessity in the appreciation of what i will for now refer to as “the new french-Canadian innovators of popular music”. Genre branding has never been my strong suit. (...)

Extract from "French Canadian music rises and conquers-the new quebecois aesthetic" Maiamaiadavisdavies's Blog, July 27, 2010,

Soundscape : Les Chemins De Verre

Les Chemins De Verre - Karkwa

Denim on DenimDans un camion de glaise la braise sur le moteur
mutants couverts de terre à l'intérieur

Nos dents fines et longues déchirent le décor
Nos yeux vides et froids escortent la mort


Released in March 2010, Les Chemins De Verre is an excellent album from the francophone band Karkwa. Also a Polaris Prize shortlister, Karkwa's latest effort is a lovely blend of intricate mellow folk, atmospherics and energy contributed by tracks such as "Les Chemins De Verre". On my first few listens, the beautiful sounding French lyrics are what really drew me in.

Listen to tracks from the album: http://www.karkwa.com/
MySpace: http://www.myspace.com/karkwa
  
Soundscape : Les Chemins De Verre, Tuesday, July 27, 2010

dimanche 25 juillet 2010

Une première couronnée de succès

(Québec) Lauréate : Dominique Goulet

Occasion : l'énorme succès de son premier Festival d'été de Québec à titre de directrice de la programmation  (Photo) Le Soleil, Yan Doublet

Dominique Goulet est au Festival d'été de Québec à New Richmond en fin de semaine. Elle aura ensuite droit à des vacances bien méritées, avant de s'asseoir avec son équipe pour faire le bilan de sa première programmation. (...)

Elle fera aussi le point avec Karkwa, à qui elle a donné carte blanche (le groupe a invité en concert Elvis Perkins in Dearland et Land of Talk), une formule qu'elle aimerait davantage exploiter «sans alourdir la machine».

Extrait de l'article "Dominique Goulet: une première couronnée de succès" d'Alexandra Perron, Le Soleil, Publié le 25 juillet 2010

samedi 24 juillet 2010

KARKWA Band of the Day !


It’s Karkwa. Heard of them? No…well it’s okay, they’re a little obscure to us down here in the US of A. I stumbled on them on Sirius this morning.

I feel badly about making Karkwa band of the day being that they are 12 years old. But it’s passionate fans like us that might make that 12 year commitment pay off. Louis-Jean Cormier, François Lafontaine, Martin Lamontagne, Julien Sagot, Stéphane Bergeron have put in the time now give them 3:00 minutes of your precious life. I promise you’ll love it. The band’s name is a phonetic rendering of carquois (French for a quiver of arrows). Oh they’re from Montreal and they sing in French and they just nail that East Coast Canada sound. Think The Arcade Fire, with a splash of Sigur Ros, a dash of Volcano Choir and sprinkle of Radiohead. They’ve evolved over the years, but they just have a nice big band sound with layered vocals, strings, acoustic guitars, pianos…all of it. Don’t be surprised if you see them at a Festival near you. They will be a headliner at Inukshuk. They are once again a favorite to win the Polaris Prize in 2010. 


vendredi 23 juillet 2010

Karkwa – Last Night @ Festival d’été de Québec

 Karkwa – Last Night @ Festival d’été de Québec

Karkwa skated circles around anything quiet as the home town cavalcade of calculated audio blasted it’s way through an eager Festival d’été de Québec… Photos and words from the festival’s soul coming soon.

From Corner Shop Studios (07.19.10)

Karkwa, pas besoin de préciser pourquoi ils sont toujours aussi bons

Vous le savez déjà, le Festival d’Été de Québec a été un méga succès. Record de ventes de macaron/laissez-passer, record de foules, record de gros nom, record de chaleur, record de records, etc. Pourtant, quand la première programmation est sortie, je m’attendais à un festival bien fade pour moi. Certes, une avalanche de gros noms sur les Plaines, mais les scènes plus alternatives étaient pauvres à ce moment-là.

Finalement, le Cercle et l’Impérial ont présenté ce qu’ils accueilleraient quelques semaines plus tard, des noms se sont ajouté au Parc de la Francophonie et j’ai finalement eu de quoi me mettre sous la dent presque tous les jours. Des bons trucs, mêmes! 

Parmi mes moments dont je me souviens encore tout en souriant: The Slew et leur gros rock bluesé accompagné de tables tournantes à l’Impérial; Holy Fuck qui a été égal à lui-même: savoureux; Dance Laury Dance qui m’a surpris par sa forte présence et son rock cliché mais efficace; Think About Life qui est toujours aussi charmant, même lorsqu’il est mal placé; Woodhands qui m’a accroché par son simpliste mais énergique et sucré électro; Arcade Fire, parce que c’était enfin la première fois; Caribou pour son intensité (et peut-être même MON spectacle du festival); Fred Fortin, parce qu’il est aussi dans mon top 3 de cette année; Bernard Adamus parce que c’est bon tout court ce qu’il fait et que le public a créé un beau moment; Karkwa, parce que je n’ai pas besoin de préciser pourquoi ils sont toujours aussi bons; et finalement Le Golden pour leurs improvisations aux envolées électro, hip hop et jazzé. (...)

Extrait de l'article "FEQ et OFF 2010: finalement, c’était bien" de Mickaël B, la Barbe, le 23 juillet 2010

jeudi 22 juillet 2010

Je préfère Karkwa

Francos de Spa 2010 : Cette année, les Francos de Spa ont débuté le jour de la fête nationale Belge alors qu'avant elles se terminaient le 21 juillet. Il y a avait donc pas mal de monde sur le site mais il aurait été difficile de savoir pour le non initié que c'était aussi jour de fête nationale. Une ambiance festive mais pas délirante et pas mal de monde mais pas trop non plus. (...)

De Belgique, j'ai été entendre Ghinzu, que je connaissais mais que je n'avais jamais vu en concert. Comme je ne suis pas très chaud avec tous ces groupes qui ressemblent à Radiohead et qu'en plus Ghinzu ne chante qu'en anglais, inutile de dire que je n'ai pas tellement embarqué dans leur monde. Cela dit, la musique de la populaire formation (plus de 50 000 copies de son dernier album écoulées en Europe) est assez envoûtante et riche, loin des clichés pop. Mais dans le même registre, je préfère Karkwa.

J'ouvre une parenthèse ici. Comme plusieurs l'ont fait remarquer l'année dernière, il semble que de chanter en anglais ne pose pas de problème aux programmateurs des Francos de Spa, même si le nom du festival laisse entendre qu'il s'agit là d'une fête dédiée à la musique d'expression francophone. On comprendra qu'entre les deux solitudes, les wallons francophones d'un côté et les flamands néerlandophones de l'autre, la meilleure façon de communiquer demeure l'anglais.

Mais des événements qui se consacrent presque exclusivement à la musique anglophone, il n'en manque pas en Belgique! C'est assez étonnant que même certains des artistes québécois présents au festival chantent en anglais... On n'est pas à un paradoxe près semble-t-il, bien que ces artistes soient tous dignes d'intérêt. Bon, on ne reviendra plus sur le sujet, on ne veut pas passer pour les râleurs nationalistes de service, mais on n'en pense pas moins. Fermeture de la parenthèse. (...)

Extrait de l'article "Francos de Spa 2010: Baloji!" de Patrick Baillargeon, Voir.ca le 22 juillet 2010

mercredi 21 juillet 2010

Wrath of Khanna's Polaris Album of the Week: Les Chemins De Verre by Karkwa


. We're staying in Montreal for my weekly analysis of the top 10 short list for the 2010 Polaris Music Prize, as I take a closer listen and look at Les Chemins de Verre by Karkwa. What's that you say? Haven't heard the record, have we? Well, Karkwa have kindly furnished me with five records so that I can pass the freedom on to you.

The world certainly needs the music that Karkwa has composed for this record, which is a bit sneaky in its sway over you. It's dreamy, sweeping pop music that is really quite cool and, on a superficial level, a lot like a Francophone Patrick Watson. But wasn't Patrick Watson the most controversial Polaris winner yet? Some felt he totally earned it but, more than Owen Pallett before him, I did hear people express some shock that he won. 

Not begrudging shock necessarily, just like "Huh? Really?" Still Karkwa exhibit a whole lot of musical bravery and tenderness on this record. They're like the ideal Mr. Right--strong but sensitive. Maybe they can make a quick jolt of money too and then really break some hearts. Ah, but if it were only so simple. Even though I enjoy this record, here's how I think the Polaris jury might break things down:

Les Chemins de Verre by Karkwa:

RIGHTFUL RANK: Bottom 5
 
LIKELY RANK: #8 ( I know there's only a #1, but humour me )

STRENGTHS: Obscure outside of Quebec; from Montreal, which people associate with musical greatness; Francophone; crazy dynamic and fascinatingly sophisticated pop rock; going for a decade, so not some flash in the pan; an undeniable artistic achievement that should be encouraged by this nation's music critics and fans. 

WEAKNESSES: Depends on the jury, but a Francophone record might not be all that comprehensible beyond it's obvious sonic power; among the lowest profile nominees; often really artistic at the expense of being accessible (writing that pained me btw, but I'm trying to think like a potential jury member). 
OVERALL STATUS: SO RICH AND DESERVING BUT CAUGHT IN A VERY TOUGH FIELD THIS YEAR.

How do you imagine Les Chemins de Verre will fare in the 2010 Polaris Music Prize sweepstakes? What is its stiffest competition?  

I have five copies of this CD to give away to the 3rd, 19th, 48th, 71st, and let's say 115th  people to post on this here blog.
 
If this ends up being you, please e-mail vish_khanna@cbcradio3.com with "Get Outta My Dreams, Get into my Karkwa" in the subject line, and your blog moniker and shipping address in your message. 

Posted by Vish Khanna, CBC RADIO 3

Musical interlude of the week: Karkwa

Recently, Karkwa has been shortlisted for the Polaris Music Prize for their lovely album "les chemins de verre." Do I believe that a Francophone album has a chance in hell of winning? No. 

Simply given the fact that out of 50 albums that have been shortlisted during the past 5 years, only 3 have been Francophone and two of those nominations were for Malajube.  

Apparemment, ils sont les seuls musiciens francophones de valeur au Canada. And could the overall selection get anymore White?? Or did I miss the memo informing us that only White (mostly male) Anglos make noteworthy music in Canada?

Quel bon choix j'ai fait !


Il faut dire les vraies choses, on ne mets pas du français juste par principe d'en mettre. Ça prend des artistes pertinents. Karkwa aurait dû avoir la scène Bell des plaines à la place de Lara Fabian, ils la méritaient grandement.

Ce qui m'amène à ma dernière soirée de festival. Contrairement à mon envie d'aller voir Rammstein, j'ai opté plutôt pour la qualité. J'aime Rammstein, mais ils n'ont rien fait de pertinent depuis 5 ans. Et je me doutais bien que ça n'allait pas être un show greatest hits. Alors, malgré la curiosité de voir les effets plutôt que la musique, j'ai opté pour Karkwa

Et quel bon choix j'ai fait! J'ai les albums, mais, sans critiquer les gars, «live», c'est vraiment une autre game. Ça va vraiment nous chercher aux tripes. Il y a une présence, une force que je trouve n'est pas assez évidente sur album. J'aime l'ambiance laissé par les albums, mais en version Live, c'est plus une expérience qu'une ambiance. On ressent plus les percussions, la basse, les paroles nous hantent encore plus. 

Les gars sont extrêmement talentueux et méritent vraiment plus d'attention que ça. Ils ont été confinés à une petite scène au Pigeonnier qui donnait un peu l'allure d'un spectacle intime. Quoique, c'est peut-être mieux comme ça. J'ai l'impression d'avoir fait partie d'un petit groupe de personnes choyées ce soir-là. Sérieusement, si vous ne connaissez pas, ça vaut vraiment la peine. Pour ceux qui aiment les groupes légèrement planants, comme Radiohead ou Muse, Karkwa peut entrer dans cette catégorie, mais en restant bien à part quand même.

En première partie, il y avait Land of Talk, un petit groupe fort sympatique mené par une chanteuse, Elizabeth Powell, qui a une voix magnifique et envoûtante. j'ai beaucoup apprécié, même si je n'ai réussi à entendre que les trois dernières pièces de son set.

Et comme deuxième groupe qui ouvrait le spectacle, un groupe folk Elvis Perkins in Dearland. Groupe que j'aurais vraiment plus apprécié si le son avait été mieux calibré. Trop d'aïgus et beaucoup trop fort. Il y avait des cuivres et une grosse caisse, mais on ne les entendait pas. J'ai dû sortir une quinzaine de minutes, juste parce que c'était trop pénible à endurer. Ils auraient mérité une meilleure chance que ça.

Alors, un très bon festival cette année. J'ai encore manque trop de stock, mais bon, l'infime partie que j'ai vue valait amplement la peine.

Extrait  de l'article "Les aventures de Moi au FEQ PART 2 " d'Hugues Skene sur son blogue le mardi 20 juillet 2010

Les Chemins de Verre by Karkwa : Polaris Album of the Week !

.
On CBC RAdio 3, Polaris Album of the Week :  

Les Chemins de Verre by Karkwa !

Win 1 of 5 copies @polarisprize on CBC Radio 3

(July 7, 2010 ) Karkwa was on hand at Toronto's Drake Hotel for yesterday's announcement :
"We sing in French," leader Louis-Jean Cormier told CBC Radio 3. "It's an enormous surprise for us. It shows an ouverture to the francophone language. We live in Canada, so we -I don't know. I don't want to go further. It's an honour for us."

Une découverte de Karkwa


Alors que le Festival s'est terminé dimanche soir, c'est avec la découverte de Karkwa que l'on a achevé cette édition 2010.

Je dois avouer que je ne connaissais Karkwa que de nom sans vraiment en connaitre les chansons. Aussi, j'ai été agréablement surprise par leur prestation. Et même si je me sentais un peu patraque, j'ai apprécié les découvrir sur scène même si ceux-ci se sentaient un peu rouillés. (...)

Au fil des prochains jours, je continuerai de trier la multitude de photos de Festival pour en déposer les meilleures dans mon Flickr, et aussi pour faire le tour des vidéos qu'il me reste à traiter (dont celles de Karkwa) et que je déposerai dans mon YouTube...
  
Extrait de l'article d'Etolane sur sonhttp://www.flickr.com/photos/etolane/ blog "vol de mots" mardi, juillet 20, 2010

mardi 20 juillet 2010

The musicality of Karkwa

One of two Québécois shortlisters for the Polaris Prize: Karkwa (the other is Radio Radio). The song, “Oublie Pas”, has a slow, dreamy feeling to it; not being a fluent French speaker, I can’t comment on themes here, except that the title means “Don’t Forget.” I kind of like it that way sometimes; it’s lovely to be able to listen to music written in a language you don’t speak, since it focuses you on the sounds—the musicality—of the language, instead of getting distracted by the lyrics’ meaning.


Karkwa_Oublie pas from PARCE QUE FILMS on Vimeo.

Extract from Article "Tuesday Tracks! Rae Spoon, Karkwa, The Beauties" By Luke Champion,THIS Magazine, July 20, 2010

Karkwa en vedette dans le cadre des Rythmes Tremblant

Les bluesmen et blueswomen du Festival international du blues de Tremblant cèdent les planches aux artistes prenant part aux Rythmes Tremblant! Ce week-end, Karkwa volera la vedette, groupe de cinq jeunes hommes en constante ascension!

Formé en 1998, le groupe Karkwa s’illustre dès l’année suivante dans le cadre du concours Cégeps en spectacle, où la performance de ces cinq passionnés de musique est remarquée par l’Office franco-québécois pour la jeunesse au point de leur mériter un passeport pour une tournée en France, à l’occasion du Printemps du Québec. En mars 2010, après avoir sillonné les routes pendant deux ans, Louis-Jean Cormier (voix et guitare), Stéphane Bergeron (batterie), François Lafontaine (claviers), Martin Lamontagne (basse) et Julien Sagot (percussions et voix) sont de retour pour présenter Les chemins de verre, premier extrait radio et chanson-titre de leur quatrième disque. Un nouveau chapitre s’ouvre dans une histoire qui nous réserve sans doute encore ses plus belles pages…

Voici également les artistes qui performeront les 23, 24 et 25 juillet, sans compter l’animation de Duo Arte en après-midi le samedi et dimanche.
  • Vendredi 23 juillet
    22h: Groovetown
  • Samedi 24 juillet 16h15 et 18h15: Gardy Fury
    17h et 19h: Randal Spear
    21h: Karkwa
  • Dimanche 25 juillet
    16h15 et 18h15: Freddy James Project
    17h et 19h: Julie Crochetière 
Communiqué l'information du nord, Arts et spectacles - Publié le 20 juillet 2010 à 00:00

lundi 19 juillet 2010

Karkwa : rock poétique et électrisant !

 Dans Culturis : "le Rendez-vous des passionnés de culture ! Version 2.0"

Il est presque 21h15 et je crois que j’ai le festival dans le corps. Elvis Perkins vient de terminer sa prestation et malgré l’énergie qui s’en dégageait, j’aurais eu envie de faire un petit roupillon. Je me lève pour aller au bar question de me dégourdir un peu (me désaltérer aussi) et qui j’aperçois à côté de moi en train de commander une bouteille d’eau? Louis-Jean Cormier, tout souriant. Ça y est, c’était le petit remontant dont j’avais besoin pour terminer mon festival en beauté.

Et croyez-moi c’est vraiment en beauté qu’il s’est terminé avec un Karkwa survolté : «Ça fait longtemps qu’on n’a pas joué, on a le goût de péter des cordes» de lancer Louis-Jean Cormier…et ils les ont péter !

Karkwa c’est pour moi du rock poétique électrisant, à la fois enlevant et planant. Du rock où les mots sonnent aussi bien que la musique. Du rock francophone qui n’a vraiment rien à envier à tous les groupes rock célèbres de ce monde. D’ailleurs lorsque le chanteur du groupe a remercier le public d’être là et d’aimer la musique francophone, la foule a réagit fortement par les cris et les applaudissements, comme quoi le rock en français a plus que jamais sa place! Leur performance (le mot est juste) en cette dernière soirée du festival est assuréement de bon augure pour la tournée qu’ils amorceront à l’automne, pour présenter leur tout dernier album, Les chemins de verre.

Dès le début du show Karkwa nous a donné La Piqûre en nous infiltrant dans les veines une bonne dose de rock! Enchaînant les pièces du dernier opus, mais aussi quelques succès des précédents, le groupe s’est visiblement amusé sur la scène au plus grand bonheur des spectateurs conquis dès les premières notes de la soirée. Un spectacle sensationnel et solide du début à la fin, et on aurait pris encore!

En rappel, Karkwa a invité Elvis Perkins à venir le rejoindre sur la scène pour une sorte de «get togueter» de musiciens et ils ont interprété ensemble “Dooms’day” , un folk enjoué pas très loin de notre folklore. Et puis, comme dernière pièce de la soirée, M. Cormier a invité la foule à chanter et à Échapper au sort… Mais qui voudrait échaper au sort et au charme d’un des meilleurs groupe rock du Québec? Karkwa, je vais me souvenir !

+ 18 belles photos de Billy Robinson

publié le  19/07/2010

Karkwa a offert une performance exemplaire

Dimanche, dernière soirée du FEQ, je dis non à Rammstein et je me déplace plutôt du côté du parc de la francophonie pour voir Land of Talk et Karkwa (j’ai raté une partie d’Elvis Perkins parce que j’ai couru pour m’acheter un film pour mon appareil photo…). J’étais déjà vendu à Land of Talk (vus en première partie de Broken Social Scene le 31 octobre 2008 au Métropolis) et je n’ai pas été déçu mais j’en aurais pris plus. J’avais l’impression d’être la seule personne à connaître les paroles des chansons.

Karkwa a offert une performance exemplaire, très énergique qui ne me fait pas regretter du tout de ne pas être allé sur les Plaines à la place. Le rappel avec les membres du groupe d’Elvis Perkins et la chanteuse de Land of Talk, Liz Powell, était parfait.

Extrait de l'article "Retour sur la dernière semaine à Québec (FEQ + OFF) de Nicolas G.", bangbangblog , le19 juillet 2010

Karkwa « C’est le meilleur band au Québec »

.
Le Parc de la Francophonie (Pigeonnier) accueillait lors de cette dernière soirée Land of Talk, Elvis Perkins et Karkwa. Je suis arrivé sur les lieux vers 20h15, quand monsieur Perkins a commencé sa prestation.

Malheureusement pour lui, le son était moyen. Les hautes agressaient nos oreilles, sa guitare était un peu trop forte, tout comme sa voix (entendre les lèvres décoller lorsqu’un chanteur ouvre la bouche est un indice d’un gain un peu trop fort). Néanmoins, cet artiste que je connais plus de nom que de son a été bien sympathique, dans le contexte. Je ne suis pas sûr que c’était ce qu’il y avait de mieux juste avant Karkwa, mais j’ai apprécié son folk teinté de cuivres et de claviers bien suaves. Durant une pièce, il m’a rappelé Urbain Desbois

Karkwa a ensuite embarqué sur la scène après le changement d’instruments. Le spectacle a commencé avec l’excellente La piqure du tout récent album, Les chemins de verre. C’est principalement des pièces de ce disque que le public aura eu droit, d’ailleurs. Ce qui signifie le retranchement de plusieurs bonnes pièces (comme Coup d’état, Combien, Oublie pas ou Mélodrames – ok, elle, ça fait déjà longtemps qu’elle n’est plus jouée, je sais)… Toutefois, les nouvelles pièces sont si puissantes qu’on ne s’en formalise pas tant que ça.

Même s’ils se dont dit rouillés sur scène (leur tournée pour le nouvel album devrait s’entamer cet automne, et Louis-Jean a parlé du Grand Théâtre en novembre), les gars ont été, comme toujours, solides. De petits blancs à deux ou trois reprises, mais ils en rient et passent rapidement à autre chose. Le tout demeure fluide et débordant de saveur.

J’ai la chance d’écouter depuis plusieurs mois un bootleg qui sonne crissement bien du passage de Karkwa aux Francofolies 2008 et la prestation de ce soir me ramène cette question: un vrai album live serait écoeurant! Étant donné mon dos, j’ai commencé le spectacle assis dans la zone VIP/Média… cela a pris trois chansons pour que je débarque dans la foule à m’en mettre plein la face.

Le groupe a gardé ses bonnes habitudes et continue de collaborer avec d’autres dès qu’il le peut. Elizabeth Powell de Land of Talk a été invité sur la scène pour deux pièces ainsi qu’au rappel avec toute la troupe d’Elvis Perkins qui y a joué l’une de ses pièces avant que tous délaissent la scène avec Échapper au sort, où la foule a été invité à devenir une immense chorale.

« C’est le meilleur band au Québec », m’a lancé mon voisin, Jean-François Bilodeau, dit le Baron, directeur musical à CHYZ 94,3 FM, durant la prestation. À quoi j’ai répondu un très simple mais honnête « Ouais ».

Extrait de l'article: "FEQ jour 11: la cerise sur le gâteau", Mickaël B, Labarbe bangbangblog, le19 juillet 2010

Le vrai bonheur signé Karkwa

Plusieurs titres du dernier disque de Karkwa ont gagné en énergie rock pour leur passage à la scène et certains, plus anciens, ont été présentés dans des versions nouvelles. (Photo Le Soleil, Jason Dubé)

(Québec) Décidément, les concerts géants des plaines d'Abraham causent du tort aux artistes des autres scènes.

Hier, le groupe Karkwa, qui se produisait au parc de la Francophonie, avait le potentiel de remplir l'espace, mais Rammstein aura retenu une partie de son public. Même si les propositions sont aux antipodes l'une de l'autre, l'effet curiosité envers le groupe allemand semble avoir attiré bien des festivaliers normalement moins portés sur le rock lourd. Pareil pour Maxime Landry qui a perdu des spectateurs au profit des Black Eyed Peas, jeudi.

Quand même, il y avait pas mal de monde chez Karkwa et le groupe était drôlement en forme.

«Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas joué et on avait vraiment envie de péter des cordes!» a lancé le chanteur, Louis-Jean Cormier.

En ouverture, le chant n'était pas aussi fluide que d'habitude, comme si Cormier évoluait dans un registre moins naturel, mais tout s'est placé dès le deuxième titre et le chanteur a posé harmonieusement sa très belle voix sur les formidables envolées rock de son groupe. La cohésion était parfaite, même si Karkwa donnait son premier concert depuis la sortie de l'album Les chemins de verre en mars.

Le groupe aura d'ailleurs offert plusieurs titres de ce disque, dont Moi Léger, la très belle Marie tu pleures L'acouphène et, qui ont gagné en énergie rock pour leur passage à la scène.

Les titres plus anciens ont été présentés dans des versions nouvelles; Karkwa n'est pas du genre à se répéter, plutôt à nous surprendre. L'épaule froide, avec des rythmes plus lourds, paraissait plus dramatique. Effet très réussi; on y repensera à deux fois avant de boire et conduire...

La façade, servie avant le rappel, était superbe aussi.

Carte blanche

Le groupe a surtout exploité à la fin du concert la carte blanche qui lui était donnée. Karkwa avait choisi d'inviter The Land of Talk et Elvis Perkins and the Dearland en première partie, mais aussi dans son concert. La chanteuse montréalaise Elizabeth Powell (du premier groupe) nous a fait découvrir sa voix magnifique le temps d'une chanson, et Perkins, au rappel, s'est joint à Karkwa pour offrir une de ses compositions, formidablement joyeuse. En finale, tout ce beau monde est resté sur scène pour offrir Le vrai bonheur, une chanson douce du récent album de Karkwa. Le quintette s'estimait rouillé, mais franchement, ça ne s'entendait pas du tout. Excellent concert!

Avec son groupe The Dearland en première partie, le New-Yorkais Elvis Perkins a offert des compositions à saveur folk rock, flirtant tantôt avec le country, tantôt avec l'expérimental. Le leader du groupe, qui est le fils de l'acteur Anthony Perkins (Psychose de Hitchcock), a habité la scène avec un brin de mélancolie. Un bon show, mais sans plus.

Article de Valérie Lesage, Le Soleil, Publié le 19 juillet 2010

Festival d'été de Québec: rencontre avec Karkwa

À l’occasion de leur passage au Festival d’été de Québec, nous avons rencontré le groupe de rock Karkwa, quelques mois après la sortie de leur album Les chemins de verre. C’est Louis-Jean Cormier, le chanteur, qui s’est prêté au jeu de l’interview. 

Qu’est qui s’est passé pour Karkwa depuis la sortie de l’album?

Heu… rien! Mais c’était volontaire. On a pris des vacances pour la première fois depuis douze ans. J’attendais un deuxième enfant, François son premier... On a donc pris ça cool tout en préparant la prochaine tournée.

Vous êtes finaliste du prix Polaris (prix récompensant l'artiste ou groupe canadien ayant sorti le meilleur album de l'année), c’est important les récompenses ou cela reste anecdotique? 

Celui-là est assez important pour nous, car en chantant en français, nous faisons partie d’une minorité.  Donc se faire reconnaitre par ses pairs de l’industrie anglophone, c’est très agréable.

Vous avez enregistré votre dernier album dans un manoir français. Justement la France, c’est un objectif de carrière ou simplement une option envisageable parmi d’autres?
Je te dirai que c’est entre un objectif et une nécessité. Ce n’est certainement pas au Québec qu’on va réussir à vivre confortablement de notre musique, c’est essoufflant dans ces conditions. Malgré la crise, la France représente un grand marché pour notre musique même si c’est difficile, car nous faisons de la musique underground. C’est sûr que nous ne voulons pas concurrencer Garou ou Francis Cabrel!

Quelle est votre stratégie pour conquérir le marché hexagonal?
Continuer de faire ce que nous faisons, à savoir des spectacles et des festivals. Il y a une belle vibe en ce moment autour de la musique québécoise, on va essayer d’en profiter.

Et pour être encore plus international, est-ce que chanter en anglais est une chose à laquelle vous avez pensé?
Non. Je pense que chanter en français n’est vraiment plus un critère déterminant. Le prix Polaris le prouve; on est allé jouer en Angleterre, dans l’Ouest canadien, la langue n'est vraiment pas un handicap… je vais te dire, à la limite c’est même mieux car c’est plus original!

Quel regard portes-tu sur vos douze ans de carrière?
De la fierté. On a réussi à devenir une espèce de famille… ou de couple, oui on est comme un couple en fait, on partage de longues journées de camion, des chambres d’hôtel, et quand on pense à l’avenir on espère que ça continue longtemps.

Et le couple va bien?
Oui, le couple Karkwa va très bien. Beaucoup de thérapie! Non je plaisante (rires).

Avez-vous fait l’album idéal?
Non, pour chaque album, on est de plus en plus content, mais je crois que l’album idéal n’arrivera jamais, on se remet toujours en question et c’est très bien. J’espère même ne jamais faire l’album parfait parce que sinon la suite risquerait d’être plate!

Karkwa, Les Chemins de verre (Audiogram)

Article de David Nathan, vivredanslanuit.ca, msn divertissement

Karkwa se dérouille sur une note positive au FEQ

Karkwa était rouillé, le FEQ se termine tout de même sur une note positive

En fin de spectacle, le leader de Karkwa l’a avoué… «On était pas mal rouillé»! Ça n’a pas empêché Louis-Jean Cormier et son band d’offrir aux spectateurs du Festival d’été de Québec une prestation de bonne qualité, mais, il faut le dire, en manque de rythme.

Les premières pièces ont montré un groupe énergique, prêt «à péter des cordes» au Parc de la Francophonie avec une belle montée en puissance jusqu’à Marie Tu pleures, «cette toune de Hippie» composée en France, peu de temps avant l’enregistrement du dernier album Les chemins de verre dans un vieux manoir du XIXe siècle, en banlieue de Paris. Une légère descente est ensuite survenue, atteignant un creux avec l’intervention de Elizabeth Powell du groupe Land of Talk invitée à interpréter une chanson qui ne me semblait aller avec le son du spectacle de Karkwa.

Heureusement, nous avons vécu une autre montée qui a atteint son paroxysme avec La façade et Les chemins de verre. Des percussions qui explosent la scène, une voix très chaude de Cormier et un Martin Lamontagne très présent à la basse ont fait de ce spectacle un événement à la hauteur d’un dernier jour de festival. Des bémols pour des éclairages qui parfois, prenaient toute la place (au détriment de la musique) et à un rappel qui n’était pas à la hauteur. Aucun moment de grâce avec Elvis Perkins arrivé de nulle part avec un groupe de musiciens que je n’avais pas le goût d’entendre à ce moment-ci de mon festival.

Ça ne m’a pas empêché de passer une très bonne soirée, enveloppé par du rock complexe de grand calibre où domine le son des cordes électriques. Il faut dire que j’aime Karkwa depuis l’album Les Tremblements s’immobilisent. J’aurais bien aimé entendre Le tour de l’Île extrait de l’album Hommage à Félix, mais j’imagine que le choix avait été fait de privilégier le «get together» avec les intervenants qui précédaient Karkwa plus tôt en soirée.

Le groupe s’offrira une tournée et revient à Québec en novembre, si j’ai bien compris. Ce sera probablement l’occasion de vérifier toute l’ampleur de la maturation d’un son qui n’a pas fini de nous étonner.

Article paru le 19 juillet 2010 sur le blog de Mario Asselin : "Mario tout de go"

Entrevue avec Julien Sagot et François Lafontaine de Karkwa dans le cadre du festival d'été de Québec 2010

Voyez cette vidéo de MSN: FEQ : Karkwa

Voyez cette vidéo de MSN: FEQ : Karkwa

Deux courts extraits du concert d'hier soir, ce qui suit sur la vidéo n'a rien à voir ;-)

dimanche 18 juillet 2010

Karkwa au Metropolis de Montréal le 30 septembre 2010

Métropolis 
59, rue Sainte-Catherine Est,  
Montréal (Québec), Canada, H2X 1K5 
514 844-3500
le 30 septembre 2010 à 19h30
Ouvert jusqu'à 21h les soirs de spectacle.

Karkwa à St Eustache le 17 septembre + bio

Karkwa, Centre d'art La Petite Église
271, rue Saint-Eustache,
Saint-Eustache (Québec), Canada, J7R 2L9
450-974-2787
le 17 septembre 2010 à 20h00

Le groupe musical québécois Karkwa a été formé en 1998 dans le cadre du concours Cégeps en spectacle. Il est composé au départ de Louis-Jean Cormier, Martin Pelletier (anciennement de la formation nord-côtière Kalembourg), Michel Gagnon , Stéphane Bergeron, François Lafontaine et Julien Sagot. Ils atteignent la finale provinciale de ce concours en 1999, puis ont l'occasion de faire une dizaine de prestations en France grâce à une collaboration de l'Office franco-québécois pour la jeunesse. Michel Gagnon, guitariste et chanteur quittera la formation en 2001 de même que Martin Pelletier qui sera remplacé par Martin Lamontagne à titre de bassiste du groupe. Karkwa dans sa forme définitive atteindra en 2001 la finale des Francouvertes.

Le groupe a produit quatre albums, soit Le pensionnat des établis en novembre 2003 et Les tremblements s'immobilisent en novembre 2005, sous l'étiquette Audiogram et avec la participation exceptionnelle de la chanteuse culte Brigitte Fontaine. Le volume du vent, paru en avril 2008, comptait quant à lui sur la participation du chanteur montréalais Patrick Watson. Le quatrième album, "Les chemins de verre" est paru le 30 mars 2010. Cet album a été enregistré au studio La Frette, en banlieue de Paris.

Ils ont été invités à faire des prestations dans le cadre du Festival d'été international de Québec, des Coup de coeur francophone de Québec et de Montréal ainsi que des FrancoFolies de Montréal et de Spa. Lors du gala de l'ADISQ en 2008, Karkwa a remporté quatre prix : groupe de l'année, auteur ou compositeur de l'année, clip de l'année pour Échapper au sort et album alternatif de l'année pour Le volume du vent. Ils récidivent en 2009 en gagnant deux prix: spectacle de l'année pour Le volume du vent et vidéoclip de l'année pour La façade. Louis-Jean Cormier a gagné le prix du réalisateur de l'année pour l'album/hommage à Gaston Miron 12 hommes rapaillés.

Louis-Jean Cormier et Julien Sagot de Karkwa en perfo acoustique

"Marie tu Pleures" Performance de Louis-Jean Cormier et Julien Sagot de Karkwa à NRJ dans l'émission de Dominique Arpin publié le juin 2010

Coeur de verre

Fort d'un nouveau disque intitulé Les Chemins de verre qui est paru en mars dernier, Karkwa est toujours sur une lancée où les succès s'enchaînent l'un après l'autre. 

Voilà que son quatrième album a été sélectionné parmi les 10 finalistes du prestigieux gala des Polaris Music Prize. Comme nous ne saurons l'issue de cette histoire qu'en septembre 2010, il s'agit ici d'un dossier à suivre sans faute. 

En attendant, Karkwa viendra dans la région afin de défendre les nouvelles chansons tirées du disque Les Chemins de verre et, bien entendu, gageons que le groupe servira à ses spectateurs les grands classiques de son riche répertoire. 
 Le concert aura lieu le 16 juillet à l'Auberge Île du Repos et ceux ou celles qui désireraient y assister devront faire vite!

Article de Joël Martel, Voir.ca, le 15 juillet 20

vendredi 16 juillet 2010

Polaris Prize, Signal Prize?

 .
The short list for the Polaris Prize was announced recently. A big deal in Canadian music circles. In its short history (5 years!) it has quickly become THE big prize for our musicians. Not just because of the money ($20,000 to the winner) but because ALL genres of music are considered and there are no sales quotas to meet. It is a juried award for creative artistic achievement in recorded music. Which is why artists and albums that push boundaries and are doing something different rise to the top in the Polaris Prize world. And that's something Polaris has in common with The Signal for sure.

If you're a musical explorer, if you're curious about new music, then the 10 albums on the Polaris short list are the perfect way to take the temperature of the best of new Canadian music.

Here's where The Signal is going to help you out. We're giving away 5 complete sets of the short listed music to Signal listeners. (In the interests of furthering your musical adventures.) To get in on the contest, all you need to do is leave a comment here. Tell us about the album that changed your life. (For the better or the worse....) and after the Polaris gala on September 20 (which you can hear on Sirius 86 or on CBC Radio3) we'll pick 5 winners and contact you through your member profile.

So fire up the memory banks...it could win you a set of the best Canadian music from 2010!!!!

Here's the list of albums up for the Polaris Prize....and soon to be in your collection?!

The Besnard Lakes - The Besnard Lakes Are The Roaring Night (Montréal)
Broken Social Scene - Forgiveness Rock Record (Toronto)
Caribou - Swim (Dundas)
Karkwa - Les Chemins De Verre (Montréal)
Dan Mangan - Nice, Nice, Very Nice (Vancouver)
Owen Pallett - Heartland (Toronto)
Radio Radio - Belmundo Regal (Montréal)
The Sadies - Darker Circles (Toronto)
Shad - TSOL (London)
Tegan And Sara - Sainthood (Vancouver)

Posted by Andy Sheppard CBC Radio 2 on Jul-16-10

jeudi 15 juillet 2010

Il ne se fait pas grand-chose de mieux

KARKWA Parc de la Francophonie à Québec

Je vous avertis, je suis vendu d’avance. Un peu comme Arcade Fire, mais en français. Avec les années, Karkwa a réussi à placer la musique franco à l’intérieur de balises où elle n’était jamais allée. La musique québécoise a évolué grâce à eux. C’est la première fois qu’ils présenteront Les chemins de verres à Québec depuis la sortie de ce quatrième disque.

Pour cet album Karkwa nous arrive avec un son plus savoureux et plus approfondi. Les textes de Louis-Jean Cormier atteignent encore une fois des sommets puissants et épiques. Plus simple dans l’écriture, mais beaucoup plus efficace. Peut-être que d’avoir réalisé le disque Douze hommes rapaillés l’a poussé à parfaire sa plume qui était déjà formidable. Côté musique, l’expérience vaut mille fois le détour. Les musiciens de Karkwa forment un ensemble solide, un tout. Des percussions robustes. Une guitare assoiffée. Un piano brillant. Une basse rythmique. On peut même apercevoir des violons s’incruster sur l’album. Bref, la magie à l’état pur. Le summum, c’est en spectacle que vous allez le retrouver. Donc j’ai un petit conseil pour vous : ne manquez pas une prestation pareille, même si Rammstein se fait exploser des pétards dans le derrière sur les Plaines.

Je vous propose, par pur plaisir ou pour mieux connaitre :
Extrait du blogue de Nicolas Lachance le 15 juillet 2010

Karkwa : Un délire de purs délices le 16 juillet

L’Auberge Île du Repos de Péribonka présente vendredi le 16 juillet à 21h : Karkwa

Imbu d’harmonie, Karkwa fignole depuis des lustres ses airs planants et incisifs aumoyen d’instruments frivoles  et volatils, dans une pétarade éclectique, mais toujours d’une grande innovation mélodique. Karkwa reste encore l’enfant légitime de sa mère beatle et de son père zeppelin, mais il est devenu le groupe le plus accompli de la steppe laurentienne. Karkwa nous accorde l’immense faveur d’une escale exclusive sur nos planches en formation festival, pour livrer son sublime opus, Les Chemins de verre.

Un délire de purs délices… 

Nadine Brisson, Directrice aux opérations, Auberge Ile du Repos, 105, route Ile du Repos, Péribonka, Qc , 418 347-5649, iledurepos@bellnet.ca, www.iledurepos.com

Le film Bull's Eye sera présenté au Parallèle de Montréal le 17 - 09

 Le distributeur indépendant Les Films du 3 mars fera une rentrée automnale importante en proposant aux cinéphiles trois documentaires, dont un consacré à Omar Khadr, ce jeune prisonnier canadien de Guantánamo, a appris La Presse. (...)

Bull's Eye et Pax Americana

Deux autres documentaires distribués par Les Films du 3 mars précéderont la sortie de Vous n'aimez pas la vérité. Il s'agit de Bull's Eye - un peintre à l'affût, de Bruno Boulianne, et Pax Americana, de Denis Delestrac.

Présenté en mars dernier dans le cadre du Festival international du film sur l'art (FIFA), Bull's Eye se consacre au travail et à la démarche créatrice du peintre québécois Marc Séguin. Jeune artiste déjà reconnu à l'étranger, Séguin a une relation très proche avec la nature, la terre et le monde animalier qui inspirent son travail (voir son site www.marcseguin.com).

La musique est signée par le groupe Karkwa. À l'exception de deux extraits instrumentaux de chansons déjà diffusées, toutes les pièces sont originales. C'est aussi la reproduction d'une toile de Séguin qui a été utilisée pour la pochette du disque Les chemins de verre.

Ce film sera présenté au Parallèle le 17 septembre. (...)

Extrait de l'article d'André Duchesne, La Presse, le jeudi 15 juillet 2010

mercredi 14 juillet 2010

FEQ : Land Of Talk en première partie de Karkwa

J’aurais aussi beaucoup aimé voir la Montréalaise Elisabeth Powell et son excellent groupe Land Of Talk. C’est Karkwa qui l’a invitée en première partie de son spectacle dans le cadre de leur soirée «carte blanche», qui clôturera le FEQ au Pigeonnier. L’indie rock à l’esthétique low-fi du groupe lui a valu beaucoup d’attention, notamment aux USA, depuis la sortie du premier EP en 2006 Applause Cheer Boo Hiss et ensuite du premier album Some Are Lakes. Un deuxième opus, Cloak and Cipher, est prévu pour le 24 août. Nul doute qu’on pourra en entendre des extraits. Une soirée qui s’annonce mémorable et qui se concluera en toute beauté sous les étoiles. Pour ceux que Rammstein laisse froid. Pour vous donner une idée, voici la pièce titre de son dernier album, Some Are Lakes:



Extrait de l'article "FEQ: choix pour le reste de la programmation (7-8-9-10)" d'Iris Gagnon-Paradis, Voir.ca, le 14 juillet 2010

Les oreilles solides iront au FME

Le FME en met plein les oreilles

The Besnard Lakes en ouverture le jeudi 2 septembre, Pierre Lapointe en solo pour la clôture le 5, et entre les deux, une soixantaine d'artistes et de groupes constituant la crème de la nouvelle production québécoise, en plus des quelques invités venus d'ailleurs. Le Festival de musique émergente d'Abitibi-Témiscamingue (FMEAT) remet ça pour une 8e année. (...)

Les oreilles solides iront se mesurer aux murs de sons érigés par La Descente du Coude et Vulgaires Machins (le jeudi 2), We Are Wolves, Fred Fortin et The Sadies (vendredi), Karkwa (samedi) ou durant la traditionnelle soirée métal , au Petit Théâtre le dimanche, avec notamment Neuraxis et Beneath the Massacre.

Extrait de l'article de Philippe Renaud, La presse le 13 juillet 2010

mardi 13 juillet 2010

Polaris shines much-needed light on French-Canadian music

Canadian music fans think they know everything about this country’s music scene, but I’m sorry to say, they don’t. And neither do I.

Like most Canucks, I don’t know a whole lot about Francophone music. I know there are many good bands, but beyond Malajube and a few others, Quebec’s music scene remains a mystery to me.

But, it shouldn’t. A lot of francophone music is much better than what’s coming out of the rest of Canada.

Take Karkwa and Radio Radio, two Montreal-based acts who are short listed for this year’s Polaris Music Prize. I hadn’t heard of them until they were discussed on the Polaris message board — a place where the prize’s 198 jurists discuss music.

Karkwa have actually been around for 12 years and have won a host of awards since releasing a debut disc in 2003. They’ve released four albums since then, and their latest is a collection of infectious indie pop that moves from dreamy atmospherics to more straight ahead rock.

As good as they are, every Canadian needs to hear Radio Radio. They’re a dance pop rap act that’s so saccharine it’s almost cheesy, and the lyrics, which move seamlessly from English to French, are hilarious. 9 Piece Luggage Set is one of the catchiest songs I’ve heard all year and it’s weird hearing those three English word repeated over and over again while the rest of the lyrics are French.

Both bands are worthy of a Polaris nod, but even if they don’t win we’ll still be better off. Not only will more people hear these discs, but maybe the Canadian music scene can finally start including everyone who plays music in this country.

The Audio Files by Bryan Borzykowski, METRO CANADA, July 13, 2010

Les proses percutantes de Karkwa au FME

 Le FME 2010 : Le road trip de L’été

C’est hier qu’à eu lieu à Montréal le deuxième lancement de la 8ième édition du FME 2010. Le premier a eu lieu à l’endroit où tout a commencé et où tout continue de grossir, en Abitibi-Témiscamingue.

Le Festival de musique émergente d’Abitibi-Témiscamingue c’est un festival qui vous demande d’attacher vos oreilles avec de la broche et qui vous propose le road trip que vous attendiez. Situé a environ 8 heures de Montréal, on est pas seulement invité à aller découvrir de la musique on est aussi invité à décrocher du décor de la métropole.

C’est au Sainte-Élisabeth que nous avons pu voir le « teaser » du FME et une prestation toute en douceur d’Émilie Clepper. La fierté et l’esprit festif étaient déjà ancrés sur les visages suants et souriants entassés au dernier étage de cet établissement du quartier latin. Je suis agacé, charmé, amoureuse, c’est décidé, je succombe. Définitivement, il m’est impératif de faire le plein et de tasser sur ma banquette arrière sac de couchage, meilleurs amis, croustilles au Ketchup, provision de gatorade et mon vieux ouaté kaki. 

La programmation de cette édition est particulièrement alléchante. Des proses percutantes de Karkwa au son trash de We are wolves en passant par l’électro-pop de La Patère Rose et d’une note de charme à l’unique Damien Robitaille. Cependant, il est carrément ridicule de nommer que ceux là car ils ne représentent en rien tout le gratin de la musique qui nous sera présenté. Je vous invite à aller voir la programmation, personnellement j’en bave !

Le FME 2010 du 2 au 5 septembre, on se paie une ride de char ?

Article de Vanessa paru sur le blog de Bombe.tv le 13 juil, 2010

FME : Brasser ses cartes


Pour cette 8e édition écourtée d'une journée, le FME a dû jongler avec quelques changements de salles. Le Paramount ayant fait faillite dans l'année, les organisateurs se sont rabattus sur l'Agora des arts, une salle établie dans une église que le festival avait testée l'an dernier. Aussi, la ville verra naître dans les prochaines semaines une toute nouvelle enceinte, la salle Évolu-son, «un mini-Cabaret Juste pour rire, avec une mezzanine, qui peut accueillir environ 200 personnes», explique le directeur du FME, Sandy Boutin. L'endroit permettra d'ajouter un concert de plus par jour lors des 5 à 7.

La scène extérieure de la 7e Rue prendra du galon. «Habituellement, on faisait le spectacle de la rentrée de l'UQAT sur son terrain, mais l'endroit est en rénovation, explique Boutin, également gérant de Karkwa. Alors, on déménage tout sur la 7e Rue le jeudi et on ne bouge plus de là jusqu'à la fin.»

La matinée du samedi matin sera occupée par le nouveau volet «Arts de la rue», qui se veut davantage «une façon de dévier un peu du spectacle conventionnel, avec quelques petits tests, des installations», explique le directeur. Les formations françaises Cabine et Transat s'en chargeront — possiblement sur le toit d'un édifice, si tout se passe comme prévu. En après-midi, le Piknic Électronik sera de retour sur la presqu'île du lac Osisko.

Différents forfaits et passeports seront mis en vente demain, à midi, dans le site du FME.

Détails et programmation complète au www.fmeat.org

Extrait de l'article " FME: de la musique variée sur un site modifié "de

lundi 12 juillet 2010

Une 8e édition canon pour le FME

Cette année encore, le FMEAT frappe fort pour sa 8e édition. Au programme, quatre soirées offertes dans plus d’une dizaine de salles et sur des scènes extérieures, dont la toute nouvelle scène mobile Desjardins qui prendra place sur la 7e rue.

Pascale Picard Band, Pierre Lapointe, les Vulgaires Machins et Karkwa ne sont que les plus grands noms présents dans la programmation du Festival qui n’a plus à faire son nom. En plus du retour des 5 À 7, on retrouve encore une fois cette année la Nuit du métal, une soirée hip-hop et le reconnu Piknic électronik.

En plus d’artistes connus, le Festival persiste dans son but premier, l’émergence de nouveaux artistes. Damien Robitaille, We Are Wolves, Martha Wainwright, Fred Fortin et Misteur Valaire, parmi tant d’autres, feront découvrir leurs talents aux festivaliers.

Pour clôturer le Festival en beauté, l’équipe nous propose, à l’Agora des arts, un spectacle unique de Pierre Lapointe, qui ne sera accompagné que de son piano. De plus, la maison de disques 7e ciel Records profitera de la soirée de fermeture pour fêter ses sept ans d’existence.

«Nous avons déjà célébré notre anniversaire aux Francofolies, a souligné le rappeur rouynorandien Anodajay, fondateur de la maison de disques, mais de le fêter chez nous, avec nos fans, c’est encore mieux.» La soirée réunira sur scène Koriass, Dramatik, Anodjay et le rappeur de Pikogan Samian.

Un porte-parole à son image

L’édition 2010 du Festival n’a nul autre pour porte-parole que le comédien Antoine Bertrand, que l’on a pu voir en région dans les pièces Goglu et Bascule 2. L’acteur s’est dit enchanté de cette occasion.

«Depuis que j’ai découvert la région il y a quelques années, j’y viens au moins trois fois l’an, a raconté le comédien. Je n’arrivais pas à croire qu’en venant aussi souvent, je ratais toujours le FME dont j’avais beaucoup entendu parler. En plus, presque toute la programmation fait partie de la liste d’écoute de mon iPod !», a-t-il ajouté.

Les passeports du Festival seront en vente en ligne dès midi le mercredi 14 juillet. Les billets à l’unité le seront quant à eux dès le 9 août. Des forfaits touristiques comprenant passeports et hébergement sont également disponibles. www.fmeat.org

Article de Marie-Hélène Paquin, La Frontière, Publié le 12 juillet 2010

Sandy Boutin nous parle du 8e FME

Sandy Boutin, président du FME (à gauche), pose avec le comédien Antoine Bertrand, porte-parole de l’événement, et Pierre Thibault, l’un des organisateurs. (Photo: Dominic Chamberland)

Pascale Picard va ouvrir le FME et Pierre Lapointe va le clôturer. Entre les deux, une soixantaine de groupes et d’artistes vont se produire sur l’une ou l’autre des 13 scènes de l’événement. Non, ce n'est pas l'action qui devrait manquer en ville.

Faut bien l’admettre, on risque à nouveau d’en avoir plein la vue – et surtout plein les oreilles – au 8e Festival de musique émergente en Abitibi-Témiscamingue, qui se déroulera du 2 au 5 septembre, à Rouyn-Noranda.

«On espère que les gens vont encore faire de belles découvertes cette année, a mentionné le président et fondateur du FME, Sandy Boutin. «Il y a des milliers d’heures de bénévolat de plusieurs personnes dans l’organisation des différents festivals de la région et quand le public est au rendez-vous, c’est la plus belle récompense qu’on peut nous faire», a-t-il exprimé.

Outre le Pascale Picard Band, qui offrira le spectacle d’ouverture du FME le 2 septembre sur la scène extérieure Desjardins de la 7e Rue, et Pierre Lapointe, qui présentera le spectacle de clôture trois jours plus tard à l’Agora des Arts, on retrouvera toute une panoplie de groupes et d’artistes qui viendront casser la baraque dans différents bars et salles de la ville, dont Fred Fortin, Karkwa, les Vulgaires Machins, Tricot Machine et Sébastien Greffard.

Certains noms de groupes qui seront de la fête ne manquent pas de faire sourire par leur originalité, à commencer par La Descente du Coude, Le Catcheur et la Pute, Jésuslesfilles, La Patère rose, Pompe tes Pipes, 7 ans de 7e Ciel, Beneath The Massacre et The Broken Toys!

«Nous avons sept ou huit groupes de France, deux ou trois des États-Unis et un de l’Argentine. Le reste provient du Canada et du Québec, a indiqué Sandy Boutin. «Parmi eux, il y a des groupes connus partout dans le monde d’un certain public, mais dont la musique ne joue pas à la radio, a-t-il souligné. Ce sont des groupes de créneaux, de niche.» (...)

Extrait de l'article "Pascale Picard, Pierre Lapointe, Fred Fortin et Karkwa au 8e FME" de Dominic Chamberland, Abitibi Express,Publié le 12 Juillet 2010

Karkwa le 4 septembre 2010 au FME de Rouyn-Noranda

Clairement affranchi des comparaisons avec les grands groupes rock actuels, Karkwa monte en puissance et trace sa voie sans regarder derrière. Le quintette possède un vaste espace créatif qu’il maîtrise avec grâce. 

Avec Les chemins de verre, album sorti au printemps, émerge une maturité évidente mettant en valeur une démarche musicale exceptionnelle qui redéfinit au passage les paramètres du rock au Québec. Rien de moins!
Samedi 04/09/10 19H30

/01 VOILÀ!
/02 LEIF VOLLEBEKK
/03 KARKWA

AGORA DES ARTS
819-797-0800
170, rue Murdoch
Rouyn-Noranda (Québec) J9X 1Z6

Photo de Julien Sagot et Louis-Jean Cormier de Karkwa au Polaris 2010

2010 Short Listers "Karkwa" at The Drake after the announcement

Photo de Julien et de Louis-Jean lors de la cérémonie d'annonce de la liste courte du prix Polaris 2010

Toujours de bon goût, la sélection annuelle du prix Polaris.

Sur popnews.com le 08/07/10 :

Toujours de bon goût, la sélection annuelle du prix Polaris. Cette année, les Canadiens ont retenu The Besnard Lakes, Radio Radio, Broken Social Scene, Owen Pallett, Tegan and Sara, Caribou, The Sadies, Dan Mangan et Karkwa, pour leurs derniers albums respectifs sortis entre le 1er juin 2009 et le 31 mai 2010. A noter la présence de deux anciens gagnants, Caribou et Owen Pallett. Verdict le 20 septembre.

La place du français au Festival d'Eté de Québec

(...) L'exigence de l'affluence sur les Plaines implique cependant des choix de programmation qui se font au détriment du français, comme l'ont noté maints observateurs et artistes.

«Notre plan de croissance est en marche depuis 2004, rappelle M. Gélinas. Quand on va dans les créneaux plus jeunes et plus populaires, il faut des contenus qui permettent de remplir le terrain.»

Un argument que partage Dominique Goulet, directrice de la programmation du FEQ, qui juge qu'il est difficile de faire beaucoup plus sur les Plaines pour les contenus francophones, c'est-à-dire trois soirées (sur 11) qui y sont consacrées. Non sans difficulté, d'ailleurs: samedi soir, Lara Fabian a attiré 15 000 personnes sur les Plaines, soit cinq fois moins qu'Iron Maiden la veille.

«Avec l'offre internationale, remplir les Plaines, c'est déjà quelque chose, signale-t-elle. Dans le créneau francophone, c'est un défi supplémentaire. Ça n'empêche pas qu'il y ait du contenu francophone ailleurs dans le festival. Par exemple, nous présentons un des seuls shows de Karkwa cet été - en formule carte blanche. Il nous faut donc présenter les artistes francophones dans des contextes gagnants. On ne pourrait produire Karkwa seul sur les Plaines, par exemple.»

Dans cette optique, on a considéré que Loco Locass pourrait y parvenir avec Gilles Vigneault. «Même M. Vigneault était stressé, indique Daniel Gélinas. Il m'a demandé s'il y aurait vraiment du monde. Or, nous savions qu'il donnera un spectacle unique dans un contexte unique. Il a 81 ans, c'est sûr que les gens y seront.»

Le directeur général du FEQ préfère souligner les avantages financiers que procurent les blockbusters présentés aux Plaines.

«Les stars internationales comme Santana, The Black Eyed Peas ou encore Rammstein en exclusivité nord-américaine nous procurent des revenus qui bonifient les autres scènes du festival, qui améliorent la qualité dans différents créneaux - francophone, musiques du monde, etc. Manifestement, ça marche.»

Les autres scènes extérieures et la programmation en salle (à l'Impérial, notamment) attirent en effet leur lot de fans qui ne sont peut-être pas attirés par tous les grands noms prévus aux Plaines. Ce week-end, on pouvait constater la diversité des clientèles présentes à la place d'Youville ou encore au parc de la Francophonie, de Yann Perreau aux Éthiopiques en passant par le concert arabo-andalou d'Enrico Macias ou la formation montréalaise pop indie Think About Life.

«Ce moteur financier sert à générer autre chose, insiste Dominique Goulet. Sur les autres scènes, nous ne sommes pas assujettis à la rentabilité. Nous pouvons y aller pour le contenu.»

Extrait de l'article "Les Plaines à guichets fermés", d'Alain Brunet, La Presse, publié le 11 juillet 2010

Photo Iron Maiden : Jean-Marie Villeneuve, Le Soleil

Messages les plus consultés

Avertissement: Ce blog à pour but de regrouper et archiver les articles parus sur le net à propos de Karkwa. Il est fait par amitié pour les membres du groupe et leur entourage. Les liens vers les sites et articles d'origine sont faits, les auteurs sont cités lorsque possible. Si quiconque se sentait lésé dans ses droits, il n'aurait qu'a me contacter pour que je puisse remédier à la situation.