PIERRE LAPOINTE AVEC MALAJUBE ET KARKWA
Après trois performances en quatre ans au Pigeonnier, Pierre Lapointe accédera aux grandes ligues, cette année, alors qu’il s’est fait offrir rien de moins que les Plaines, pour la soirée de clôture de surcroît. Le jeune homme de 27 ans partagera la scène avec Malajube et Karkwa, deux groupes qu’il adore.
«J’ai déjà dit que Malajube était le meilleur groupe rock indépendant de Montréal depuis Me, Mom & Morgentaler. Je ne m’étais pas trompé. Quant à Karkwa, j’ai un respect immense pour eux. Ce sont des musiciens hallucinants et leurs textes le sont tout autant. Être associé à eux pour un spectacle sur les Plaines, c’est vraiment agréable», dit celui qui présentera une version assez fidèle du spectacle qu’il trimballe au Québec depuis la sortie de son troisième album, Sentiments humains.
«Il y aura peut-être de légers changements, mais sans plus. Il y a quelque chose d’avantageux à présenter ça ainsi. Ça nous permet de jouer entre les chansons et d’être plus naturels.»
Extrait de l'article "La belle histoire" de Cédric Bélanger, le Journal de Québec, le 27-06-2009
Après trois performances en quatre ans au Pigeonnier, Pierre Lapointe accédera aux grandes ligues, cette année, alors qu’il s’est fait offrir rien de moins que les Plaines, pour la soirée de clôture de surcroît. Le jeune homme de 27 ans partagera la scène avec Malajube et Karkwa, deux groupes qu’il adore.
«J’ai déjà dit que Malajube était le meilleur groupe rock indépendant de Montréal depuis Me, Mom & Morgentaler. Je ne m’étais pas trompé. Quant à Karkwa, j’ai un respect immense pour eux. Ce sont des musiciens hallucinants et leurs textes le sont tout autant. Être associé à eux pour un spectacle sur les Plaines, c’est vraiment agréable», dit celui qui présentera une version assez fidèle du spectacle qu’il trimballe au Québec depuis la sortie de son troisième album, Sentiments humains.
«Il y aura peut-être de légers changements, mais sans plus. Il y a quelque chose d’avantageux à présenter ça ainsi. Ça nous permet de jouer entre les chansons et d’être plus naturels.»
Extrait de l'article "La belle histoire" de Cédric Bélanger, le Journal de Québec, le 27-06-2009
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