Du tout dernier album, et non le moindre, de Karkwa: Les chemins de verre. Le disque est paru depuis un bon moment déjà (mars 2010), mais je m'y replonge ces temps-ci et j'ai malheureusement laissé passer l'occasion de vous en parler avant.
D'où viennent-ils?
De Montréal. Je connais la formation depuis leur tout premier album, Le pensionnat des établis, et déjà à l'époque, j'étais tombée sous le charme de la formation montréalaise. Ils sont bons et talentueux, je n'hésite pas à le dire: l'un des meilleurs groupes que Montréal à vu naître.
On pourrait les comparer à...
Patrick Watson, Malajube, Daniel Bélanger
Et ça sonne comment?
Pour faire simple, on pourrait dire que ça frôle la perfection. Délicat, harmonieux, éthéré, ce magnifique album s'écoute comme un charme. De superbes textes sont magnifiquement enrobés d'une musique divine, je pense entre autre à la pièce Le pyromane qui me donne des frissons à chaque fois que je l'entends. D'ailleurs, ils ont réalisé une superbe interprétation à l'émission Studio 12 . Un groupe dont la musique est simplement magique, envoûtante et juste tellement belle.
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