Grosse année pour Karkwa dont le rayonnement s'est avéré puissant, exponentiel. D'abord, il y a eu la parution des Chemins de verre en mars, un quatrième gravé - son meilleur, affirment certains - qui a créé l'événement (et engendré la controverse) en devenant le premier album en français couronné du prix Polaris, auquel s'est ajouté plus récemment le Félix de l'album alternatif. Et comme si leur agenda n'était pas déjà suffisamment chargé, les membres du groupe - dont certains furent visités par la cigogne cette année - brillent dans divers projets parallèles (Douze hommes rapaillés, Les filles de Caleb, on les a vus tenir les baguettes pour Radio Radio, etc.). En attendant de voir où les mènera cette ouverture vers le Canada anglais, on les retrouve dans leur environnement naturel, la scène, où la symbiose entre ces musiciens soudés et inspirés est toujours belle à voir. Le 11 décembre au Métropolis.
Article de Marie-Hélène Poitras, Voir.ca, le 9 décembre 2010
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