Louis-Jean Cormier concède que les artistes qui font plus dans la variété, comme ceux de Star Académie, pourraient exploiter le marché du single. «Mais l'amour d'un album, le concept d'un disque complet, moi j'y tiens, dit-il. En ce moment, on travaille avec des jeunes artistes qui débutent et le EP (mini-album) peut être une bonne idée, c'est une espèce de carte de visite. Mais un EP, ça ne dure pas, tu ne peux pas faire un classique comme Dark Side of the Moon à quatre tounes... Les chansons à la pièce, c'est plus éphémère. Avec Steph, le batteur de Karkwa, on se demandait si on ne devrait pas mettre des petits teasers ou une couple de nouvelles chansons sur l'internet. Ce sont des questions qu'on se pose, mais toujours dans le but d'attirer le monde vers un album complet.»
Extrait de l'article "Au Québec, l'album n'est pas mort" d'Alain De Repentigny, La Presse, Publié le 31 octobre 2009
Extrait de l'article "Au Québec, l'album n'est pas mort" d'Alain De Repentigny, La Presse, Publié le 31 octobre 2009
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire