(Gilles Bélanger © Antonio Pierre De Almeida)
Au cours d’une balade à vélo, Bélanger croise par hasard Louis-Jean Cormier (Karkwa), qu’il avait connu lorsque ce dernier assurait la direction musicale d’une tournée de Chloé. «C’est lui que je voyais à la réalisation, explique Gilles Bélanger. Lorsqu’il m’a donné son accord, je savais que Pierre Flynn, Daniel Lavoie, Plume, Richard Séguin et tous les autres tripperaient.» Les deux larrons souhaitent mordicus réunir trois générations d’interprètes autour du projet.
Au cours d’une balade à vélo, Bélanger croise par hasard Louis-Jean Cormier (Karkwa), qu’il avait connu lorsque ce dernier assurait la direction musicale d’une tournée de Chloé. «C’est lui que je voyais à la réalisation, explique Gilles Bélanger. Lorsqu’il m’a donné son accord, je savais que Pierre Flynn, Daniel Lavoie, Plume, Richard Séguin et tous les autres tripperaient.» Les deux larrons souhaitent mordicus réunir trois générations d’interprètes autour du projet.
«Une fois mon travail de composition effectué, je refile les chansons à Louis-Jean. Elles passent alors dans son essoreuse à rouleaux, confie Gilles Bélanger. Le deuxième album nous prouve que l’on peut rocker Miron avec bonheur et fierté.» Ce disque, musicalement plus éclectique que le premier, évoque autant le cirque déglingué de Tom Waits que le blues et le country. Peut-être parce l’aspect militant indépendantiste de Miron est davantage mis en avant dans cet opus que dans le précédent.
Extrait de l'article "Douze pour un et un pour tous" de Claude André / 7Jours 2010-08-24
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