Comme vous le savez peut-être, Baden-Baden, c’est une “station thermale aux eaux alcalines radioactives située dans la plaine du Rhin, au pied de la forêt noire” (dixit Le Petit Robert). Depuis quelques mois, Baden Baden (sans trait d’union pour ce quintette pourtant solidement uni), c’est aussi un groupe parisien, auteur d’un coup d’éclat, Anyone, l’une de ces chansons dont certains musiciens béniraient le ciel pour la composer une seule fois dans leur carrière. Un single génial qui croisait l’onirisme contemplatif de The Album Leaf avec les paysages désertés de Mogwai, écrivions-nous sous le choc. “De la mélancolie joyeuse”, résume le chanteur et guitariste Éric Javelle, dont le père a vécu à…
Baden Baden et qui a recruté ses quatre comparses sur MySpace – question de génération. Proche du groupe lillois Roken Is Dodelijik, il ne s’imaginait pas monter sur scène avant de les rencontrer : “Je compose depuis très longtemps, mais je me voyais davantage produire des morceaux dans mon coin”. Leurs références communes ? Un tiercé constitué, dans le désordre, de Death Cab For Cutie, Grizzly Bear et Karkwa, formation de Montréal qui a réveillé le goût de l’écriture en français (comme en témoigne Tout Est Bien, dont la démo est écoutable sur le site de Baden Baden). Après un nouveau single digital, The Book, qui bénéficie également d’un clip offert par des réalisateurs inspirés par son univers cinématique, le groupe publiera un Ep à la rentrée, constituant sa première sortie physique disponible chez les disquaires qui résistent à l’ère de la dématérialisation.
En attendant, il sillonne les routes de France et de Navarre – dont une première partie parisienne à la soirée BimBamBoom#3, organisée le 21 mai par qui vous savez – pour continuer de s’aguerrir, avant de signer un contrat discographique pour lequel les rendez-vous dans les labels se bousculent. Reste à pérenniser la démocratie interne de Baden Baden : “C’est toujours difficile pour cinq caractères affirmés d’être enthousiasmés à l’unanimité”.
Baden Baden et qui a recruté ses quatre comparses sur MySpace – question de génération. Proche du groupe lillois Roken Is Dodelijik, il ne s’imaginait pas monter sur scène avant de les rencontrer : “Je compose depuis très longtemps, mais je me voyais davantage produire des morceaux dans mon coin”. Leurs références communes ? Un tiercé constitué, dans le désordre, de Death Cab For Cutie, Grizzly Bear et Karkwa, formation de Montréal qui a réveillé le goût de l’écriture en français (comme en témoigne Tout Est Bien, dont la démo est écoutable sur le site de Baden Baden). Après un nouveau single digital, The Book, qui bénéficie également d’un clip offert par des réalisateurs inspirés par son univers cinématique, le groupe publiera un Ep à la rentrée, constituant sa première sortie physique disponible chez les disquaires qui résistent à l’ère de la dématérialisation.
En attendant, il sillonne les routes de France et de Navarre – dont une première partie parisienne à la soirée BimBamBoom#3, organisée le 21 mai par qui vous savez – pour continuer de s’aguerrir, avant de signer un contrat discographique pour lequel les rendez-vous dans les labels se bousculent. Reste à pérenniser la démocratie interne de Baden Baden : “C’est toujours difficile pour cinq caractères affirmés d’être enthousiasmés à l’unanimité”.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire