Karkwa la grande réunion d'octobre 2017
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samedi 27 février 2010
vendredi 26 février 2010
Journée internationale de la francophonie le 20 mars
Sur le site du Mouv' :
Autre style, autre univers, mais toujours francophone, c'est Karkwa ! (...)
Pourquoi ? Pour ça : ici
(un reportage audio de l'année dernière)
Les grandes voix québécoises chantent Miron
Au menu, plusieurs artistes québécois ont décidé de chanter la poésie de Gaston Miron.
Dès que les lumières de la scène laissent place aux musiciens, on a tout de suite l'impression d'entrer dans l'univers d'une réunion de gars qui adore Gaston Miron. Les musiciens s'assoient discrètement dans la pénombre, Jim Corcoran s'assoie seul à gauche de la scène et c'est Yann Perreau qui ouvre le spectacle avec Je marche à toi.
Cette chanson se marie très bien avec l'univers du chanteur, habitué aux paroles douces et amoureuses. Comme décor, on retrouve tout simplement un bureau rempli de papiers et de livre qui nous plongent dans l'antre du poète.
Comme deuxième chanson, Yann Perreau se retire à l'arrière-scène pour faire place à Jim Corcoran qui s'avance pour chanter Mon bel amour, d'une façon solennelle. À chaque chanson, un chanteur laisse place à un de ses collègues en douceur et sans flammèche. Parfois, lorsque les dernières notes d'une chanson s'éteignent, des entrevues et des paroles de Gaston Miron se font entendre pendant quelques minutes. Cet ajout nous fait découvrir un plus le genre de personnage qu'il était.
Les arrangements musicaux sont magnifiquement mis en évidence et Louis-Jean Cormier de Karkwa dirige discrètement ses musiciens. Un peu plus tard en soirée, Vincent Vallières se détache des autres hommes pour venir chanter Au sortir du labyrinthe qui se démarque par ses airs chaleureux et dansants qui rappellent l'univers musical du chanteur.
Vers la fin du spectacle, Richard Séguin est venu présenter Pour retrouve le monde et l'amour, tandis que Michel Rivard s'est laissé aller avec La mémorable. Avec des chansons aussi poignantes, ce n'est pas étonnant qu'une suite au premier disque soit déjà prévue et qu'elle sortira au printemps.
Le disque
Douze hommes rapaillés c'est d'abord et avant tout un projet musical lancé par Gilles Bélanger. Le musicien a réussi à réunir 12 artistes québécois pour interpréter chacun une chanson. Sur ce disque, on y retrouve 12 poèmes tirés de L'homme rapaillé de Gaston Miron publié en 1970.
Douze hommes rapaillés est sorti en 2008, a été réalisé par Louis-Jean Cormier du groupe Karkwa et a connu un vif succès avec 30 000 copies vendues. Sur le disque on peut entendre Jim Corcoran, Michel Rivard, Richard Séguin, Daniel Lavoie, Yann Perreau, Plume, Vincent Vallières, Louis-Jean Cormier, Martin Léon, Michel Faubert, Pierre Flynn et Gilles Bélanger.
L'album a été enregistré en direct au studio de Pierre Marchand à Montréal et rend hommage au poète québécois disparu en 1996. Le disque Douze hommes rapaillés est présentement en magasin.
Article de Sophie Montminy / 7Jours, le 25-02-2010
jeudi 25 février 2010
Le plus grand groupe quebecois depuis..... heu..... jamais
Karkwa.... Je n'ose le répéter (sans doute) mais c'est le plus grand groupe quebecois depuis..... heu..... jamais. Sinon, au niveau parole et "groupe de rock" en langue francophone, on avait sans doute jamais vu ça depuis.... je sais pas moi, Noir Désir.
Je m'écoute, réécoute, ce qu'ils font et c'est purement génial. Dommage, que pour les français, la seule révélation Quebecoise ça soit "Coeur de Pirate" (qui n'est pas une mauvaise chanteuse, loin de là, mais bon.... )
Message de Mad_Chien Hier le 24 février 2010 sur le forum BDtrash
Un nouvel album pour Karkwa
Ecrit par Cap'tain Planet, Vacarm.net, le 24-02-2010
mercredi 24 février 2010
Karkwa lance son nouveau disque au TNM, une rumeur?
Vous avez peut-être lu le billet de mon ancien collègue Éric Parazelli qui annonçait hier sur son blogue que le groupe Karkwa va se produire au TNM le 29 mars prochain.
Son texte a évidemment piqué notre curiosité, d'autant plus que Francois Lemay rencontrait le groupe ce matin. Alors qu'en est-il?
Selon Stéphanie Richard, d'Audiogram, la maison de disque du groupe, Karkwa lancera bel et bien un nouveau disque le 30 mars prochain. La compagnie n'a pas voulu confirmer ou infirmer la rumeur qui dit que le lancement aurait bel et bien lieu au TNM. Par contre, Audiogram nous a dit que le lancement sera ouvert au public, les places seront limitées, et que l'invitation se fera seulement via la page facebook officiel du groupe. Donc, si j'étais vous et que j'étais fan du groupe, je m'arrangerais pour être leur ami sur le site de réseautage...
Une histoire qui bouleverse Tout Notre Monde.
Par Alexandre Courteau, Bande à Part le 23 février 2010
mardi 23 février 2010
Karkwa le 29 mars au Théatre du Nouveau Monde
Ce qu’il y a de bien avec les blogues, c’est que même sans se déplacer, même si on est à 7 heures de route de la métropole culturelle, même si on n’est pas payé pour rapporter la nouvelle, on peut avoir accès à une information privilégiée, aller à l’essentiel sans remplir de l’espace rédactionnel inutile et partager cette information avec tout le monde. Juste pour le plaisir.
Alors si j’étais vous, je réserverais mon 29 mars, parce que Karkwa va se payer le TNM! Oui, le Théâtre du Nouveau Monde! Pourquoi? Aucune idée… Mais un groupe rock… pardons, je recommence: LE groupe rock le plus pertinent au Québec ne se produit pas au TNM pour offrir un show régulier. On pourrait spéculer sur le projet, dire qu’il y aura sûrement une mise en scène théâtrale ou même un opéra-rock ou que Louis-Jean Cormier fera un remake de la nuit de la poésie version instrumentale, il reste que l’essentiel, c’est que le 29 mars, vous ne prévoyiez pas de passer une petite soirée dvd à la maison avec votre bol de chips et votre bière. Vous irez au TNM, et ce ne sera pas pour du Molière sur-subventionné…
Extrait de l'article: " Le coin du scoop Parazzz 2.1: Karkwa au théâtre!"
À la poursuite de l'inaccessible
Super génial le gars, relaxe, après notre entrevue il a même prit un bon 15-20 minutes de son temps pour faire une intervention à notre studio de radio.
Article de Marie-Hélène Ratel sur son blog
Fièvre olympique
VANCOUVER - La formation musicale québécoise Karkwa vient de présenter quatre spectacles à Vancouver et Whistler, dans le cadre des festivités entourant les Jeux olympiques. Rencontré quelques heures avant leur dernière prestation, le chanteur du groupe, Louis-Jean Cormier, se remettait tant bien que mal d’une laryngite qu’il avait combattue peu de temps avant les Jeux.
« Mon médecin m’avait dit que ce ne serait peut-être pas possible de chanter. Il ne me reste pas beaucoup d’énergie. Depuis quelques jours je me laisse traîner à droite et à gauche. Avec les quatre shows on a eu un horaire fou », relate-t-il.
Le groupe, très choyé d’être invité comme artiste aux Jeux, a déclaré s’être surtout fait plaisir de façon égoïste en vivant la fièvre olympique sur place. Ces cinq fans de hockey ont tenté d’obtenir des billets pour assister à une compétition sportive, mais sans succès.
Cependant, ils se sont tout de même retrouvés dans une ambiance euphorique alors qu’ils mangeaient au restaurant. À ce moment, ils ont suivi en direct sur écran géant la compétition de bosses lors de laquelle le skieur québécois Alexandre Bilodeau a remporté l’or. « Avec les Jeux olympiques on sent une unité canadienne qui n’est pas toujours présente », affirme Louis-Jean Cormier.
À la suite de cette brève visite en Colombie-Britannique, le groupe prépare la sortie d’un nouvel album le 30 mars. Habitué de se produire sur la scène européenne, c’est justement dans un studio au nord-est de Paris que le CD a pris forme. En effet, au cours de l’année 2009, Karkwa s’y est enfermé à plusieurs reprises. Le chanteur indique que tout le groupe vivait à ce moment dans une bulle de création jamais sentie auparavant.
« C’était une bulle particulière avec plein d’idées originales qui nous sont venues en tête. Dans nos nouvelles chansons, il y a beaucoup de boîtes vocales et nous avons davantage l’impression d’être un band. »
Leur inspiration? Écouter de la musique maladivement, en camion, en tournée, tout le temps. Classique, contemporain, rock, folk, électronique, tous les styles y passent.
Article de Marie-Hélène Ratel – Franco Médias 2010,Publié le lundi 22 février 2010
lundi 22 février 2010
dimanche 21 février 2010
De jeunes ambassadeurs de la francophonie à Whistler
C’est ainsi que les jeunes de la 4e à la 7e année ont eu la chance de rencontrer le groupe québécois Karkwa ainsi que le groupe traditionnel de l’Île-du-Prince-Édouard Vishten. (...)
Extrait de l'article "De jeunes ambassadeurs de la francophonie à Whistler" écrit par Nadia Gaudreau - Franco Médias 2010, le Samedi, 20 Février 201
Karkwa : a shock and a delight
Like fellow Francophone rockers Malajube, the members of Karkwa have a knack for knitting together elaborate, dazzling rock compositions that astound you with their beauty but knock you backwards with their force. And what a force! They had both percussionist Julien Sagot and drummer Stéphane Bergeron pounding on floor toms for many of the songs. Lead guitarist and vocalist Louis-Jean Cormier complemented the complex musical backdrop not by an overpowering voice, but by using his voice as another layer.
Extract from brenda Lee's Blog
vendredi 19 février 2010
La façade des jeux de Vancouver
Entrevue du chanteur de Karkwa, Louis-Jean Cormier
VANCOUVER - À peine un mois et demi avant le lancement de leur quatrième album, le groupe montréalais Karkwa a pris une pause du studio afin de présenter une série de quatre concerts dans le cadre des Jeux olympiques. Le chanteur de la formation, Louis-Jean Cormier, fait un bref retour sur la carrière hors-Québec du groupe, en plus d’avouer son intérêt pour le sport amateur.
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jeudi 18 février 2010
L'effet Karkwa
Mardi en début de soirée, après la victoire écrasante de l’équipe canadienne de hockey, j’étais curieuse de voir l’effet que Louis-Jean Cormier et sa troupe auraient sur la poignée d’individus de 3 à 93 ans attablés à la cubique Maison du Québec. Pour les avoir vu plusieurs fois en spectacle, je n’étais nullement sceptique et savais que la magie opérerait puisque Karkwa offre toujours, avec une remarquable puissance, une musique qui pénètre et qui transporte. L’impact est saisissant et personne n’y résiste. Ils ont amorcé le show avec Le Compteur, qu'ils ont étiré de longues minutes dans un délire de guitare, de clavier et de percussions. Au bout de quelques instants, le charme opérait et la Maison du Québec ne portait plus à terre. Une heure plus tard, le public hétéroclite émergeait d'un rêve lorsque les cinq musiciens quittaient la scène. Des anglophones, sonnés et émerveillés, m’ont demandé : «What’s the name of that band?». Il a fallu épeler consciencieusement, car ces spectateurs nouvellement conquis tenaient sincèrement à s’en souvenir.
Si, sur disque, la magnifique poésie portée par la voix planante de Louis-Jean Cormier prend tout son sens, les paroles deviennent accessoires sur scène. Les voix deviennent des instruments à part entière, et les mots sont chantés comme dans un langage universel. Ce langage, c'est la musique. Et dans le cas de Karkwa, il s’agit de musique de haut calibre.
Article Publié le mercredi 17 Février 2010 par Marie-Pierre Bouchard, vivez Vancouver, Espace Culture
Vers les chemins de verre ?
VANCOUVER - Après avoir séduit le cœur des Québécois, le groupe de rock Karkwa entame depuis quelques jours sa conquête de l’Ouest canadien.
Au menu mercredi soir, un concert à la Place de la Francophonie dans le cadre des Olympiades culturelles.
Pour la dernière étape de leur tournée olympique, les cinq garçons déverseront mercredi soir les notes de leurs derniers albums Volumes du vent, mais aussi quelques nouvelles chansons. La même recette produite depuis dimanche sur les scènes de Whistler, du BC Place et de la Maison du Québec.
Le temps chagrin de Vancouver, la barrière de la langue, l’affluence moyenne du public, tous ses ingrédients n’ont pas entamé pour autant l’optimisme de Louis-Jean Cormier. Sirotant une bière, le chanteur du groupe avoue sa satisfaction: «C’est la quatrième fois que l’on vient à Vancouver, mais la première en tant que représentant de la culture francophone. J’ai vraiment l’impression que le public est réceptif».
Au sujet de leur rôle d’ambassadeur de la francophonie en Colombie-Britannique, là encore, le groupe ne peut réprimer une certaine fierté: «Bien sûr qu’on est heureux, c’est nos premières olympiades», dit-il. Et d’ajouter: «En plus de la francophonie, c’est surtout le rock que nous somme fiers de représenter. À Vancouver, les gens ont une vraie culture rock».
Si les garçons quittent d’ailleurs la ville olympique demain, c’est pour mieux préparer leur album Les chemins de verre. Date de sortie prévue sur les tablettes des disquaires: fin mars. Une tournée en Europe est également prévue cet été, même si pour l’instant «rien ne presse», sourit Louis-Jean Cormier.
Article de l'agence QMI le 17-02-2010
mercredi 17 février 2010
Karkwa by Nick Vail, photography and text
by Nick Vail on February 15, 2010
So today is Valentines of the Olympics, and what a great valentines day it was.
The first show of the day was a live performance from Karkwa. I had never heard of this band before, but they started off their set with so much energy It was hard not to be hooked. Their keyboardist François Lafontaine had so much passion in his keyboard routine it was so amazing to be there and watch his performance. François was banging his head with so much energy it reminded me of a mix between Alicia Keys meets Slayer.
You could tell the members of Karkwa where really enjoying playing on the stage here in Whistler, their percussionist Julien Sagot had a big smile on his face the whole time while he was shaking the tambourine and beating on the drums.
Karkwa was originally formed in 1998 in Montreal. A year later they performed at Cégeps en spectacle – a contest in Montreal which raised a lot of attention to their band which is when Office franco-québécois pour la jeunesse (a France Quebec youth exchange organization) invited them to perform at the Printemps du Québec cultural expo in Paris.
The years following they performed in a few other contests in Montreal and started to receive more accreditation in their community while performing 75 shows across Quebec. With their debut of their first album Les tremblements s’immobilisent [The Tremors Come to a Halt] in 2005 they established their presence in the Quebec Rock scene.
In 2006 the Karkwa was honored with the Félix-Leclerc Award, and they jointly received the Félix for best singer or composer along with the exceptional Pierre Lapointe (who will be playing in Whistler tomorrow in the Medals Plaza). In 2008 Karkwa released their 3rd album Le volume du vent [Volume of the Wind].
la vie est bien faite à Vancouver
J'adore Karkwa !
Extrait deu l'article "Toute une nuit" le mardi 16 février 2010 sur le blog de Zoé Fortier
Soirée Québec à Vancouver
Arrivés juste à temps pour le spectacle d'ouverture... Comme par hasard, c'est la soirée "Québec". Marie-Mai, Karkwa, Mes Aïeux, Élie Sapi... et Jean Charest. On est les seuls à connaître les paroles dans notre coin de foule :-) Mais on ne chante pas très fort ne voulant pas assombrir cette soirée de réjouissance ;-)
Extrait du l'article "la reine des jeux..." du blog "le Coach"
Les francophones absents de la cérémonie d'ouverture
Extrait de l'article de Paul Journet, La Presse, le 16 février 2010
Le spectacle de Vancouver sous la direction musicale de Louis-Jean Cormier
Et pas seulement grâce à la médaille d’Alexandre Bilodeau, dimanche, dans l’épreuve de ski de bosses. Lundi a été décrété comme Journée du Québec à Vancouver par les organisateurs des Jeux.
La Maison du Québec fait d’ailleurs les choses en grand pour l’évènement. La visite du premier ministre Jean Charest, en après-midi lundi, est ponctuée de dégustations de produits du terroir québécois. Le premier ministre a rencontré des athlètes, mais également une poignée d’artistes. Le temps pour tout ce beau monde de savourer les chants de Lynda Thalie à l’honneur sur la scène du pavillon.
Cette journée s’achève au BC Center, avec encore là une pléiade d’artistes réunis en concert. On retrouve pêle-mêle, les chanteurs Étienne Dupuis, Elisapie Isaac, Marie-Mai, Gregory Charles et le groupe Karkwa. Dans un registre plus ludique, la compagnie de cirque Les 7 doigts de la main divertira les spectateurs par ses nombreux numéros de jonglerie et autres acrobaties.
Ce spectacle, financé par le ministère de la Culture du Québec, est produit par le Groupe Phaneuf, sous la direction artistique de Geneviève Dorion-Coupal, chorégraphe et directrice artistique, et sous la direction musicale de Louis-Jean Cormier, du groupe Karkwa.(...)
extrait de l'article de Sébastien Pierroz, Agence QMI le 15/02/2010
mardi 16 février 2010
La marche version olympique : les paroles
Je l'ai vu à la télé, j'ai levé la tête.
Transporter dans mes rêves, je suis tomber dedans.
Les cris les pièges les coups et l'épuisement, j'ai eu du mal
À passer devant, passer devant.
Ça m'a sauté en pleine face
Un ultime effort. à en perdre haleine.
J'ai foncé droit devant, retrancher les centièmes.
Jouer gagnant, jouer gagnant
L'enjeu me transperce, il fait froid dehors.
Poussées par un record,
J'me cherche une force tranquille.
Les speakers feed et crachent
Des prières du haut d'une tour
faire mentir tous ses prophètes jusqu'à ce fameux jour.
Au coup de canon, j'ai chargé,
Le bonheur, le drame
Se perdre dans l'effort.
Je me surprend à penser
Que je mérite mieux que l'or.
Je cherche mon oxygène, mon cœur qui frappe fort
Le carrousel médiatique
d'un combat olympique
Je cherche mon oxygène, mon cœur qui frappe fort
La journée du Québec à Vancouver
(Corus Nouvelles) - Lundi est la Journée du Québec à Vancouver, tel que décrété par le Comité organisateur des Jeux. Pour l'occasion, une dizaine d'artistes québécois donneront des prestations sur plusieurs scènes
Le premier ministre Jean Charest va recevoir lors de cette journée des visiteurs, athlètes et artistes lors d'une réception à la Maison du Québec.
Le Québec à l'affiche
Pour l'occasion, une dizaine d'artistes, dont Marie-Mai et les groupes Karkwa et Mes Aïeux, doivent offrir des prestations avant et après la remise des médailles au BC Place. Peu de temps avant cet événement, le premier ministre Jean Charest, qui se trouve déjà à Vancouver, aura reçu les visiteurs, athlètes et artistes lors d'une réception à la Maison du Québec. (...)
dimanche 14 février 2010
Karkwa : La video de la Marche Olympique
La Marche Olympique de Karkwa avec François-Louis Tremblay, le clip video ! ICI
Vancouver, les Jeux olympiques, des moments de grande intensité, de pur bonheur et d'incommensurable déception. Et surtout, l'aboutissement d'années d'efforts et de sacrifices pour tant d'athlètes. C'est cette longue route vers le but ultime, la médaille d'or, que chantent Karkwa, le patineur de courte piste François-Louis Tremblay et Marc Durand dans une version olympique de La marche. En hommage à tous les athlètes qui donneront le meilleur d'eux-mêmes à Vancouver, Tellement sport présente le vidéoclip exclusif de cette prestation unique.
vendredi 12 février 2010
Karkwa Artistes du Whistler Live!
Karkwa est une démonstration remarquable de la créativité et de la modernité que l’on trouve dans la musique canadienne-française. Le groupe a fait sa marque grâce à un son unique créé à l’aide de la technologie la plus récente et des instruments analogiques des années 1960 et 1970, pour présenter des compositions faites pour un spectacle sur scène!
Biographie : | Photos : | Web : |
jeudi 11 février 2010
Cette longue route vers le but ultime
La Marche olympique de François-Louis Tremblay et Karkwa en grande première Vancouver, les Jeux olympiques, des moments de grande intensité, de pur bonheur et d’incommensurable déception. Et surtout, l’aboutissement d’années d’efforts et de sacrifices pour tant d’athlètes. C’est cette longue route vers le but ultime, la médaille d’or, que chantent Karkwa, le patineur de courte piste François-Louis Tremblay et Marc Durand dans une version olympique de La marche. En hommage à tous les athlètes qui donneront le meilleur d’eux-mêmes à Vancouver, Tellement sport présente le vidéoclip exclusif de cette prestation unique.
Extrait de l'article "Tellement sport: émission du 13 février 2010 " de Christian Lemelin, SDVmag, du 11 février, 2010
mardi 9 février 2010
La Grande Sophie adore Karkwa
Quels autres artistes québécois apprécies-tu ?
Extrait de l'article "Le rêve québécois de La Grande Sophie" de David Nathan / 7Jours, le 2010-02-09
samedi 6 février 2010
Karkwa affiche complet à Québec
(Québec) Si les shows de plus grande envergure semblent confinés au métal, les mélomanes de la ville répondent bien aux propositions qu'on leur sert dans les différentes salles de la région. Rien n'est parfait, bien sûr, et le milieu demeure toujours empreint d'une certaine fragilité, mais il est rassurant de voir qu'on affiche régulièrement complet. Cette semaine seulement, ce l'était pour La Roux, Jill Barber et Karkwa, entre autres.
Constat : il y a une masse critique de curieux, qui ont pris l'habitude d'aller apprécier des formations d'ici et d'ailleurs dans des salles où le contact est plus personnel et où le coût du billet n'est pas astronomique. Ils ne sont peut-être pas assez nombreux pour remplir un aréna, mais ils permettent de dynamiser les propositions musicales au centre-ville. Et, du coup, d'oxygéner Québec. Personne ne s'en plaindra
Extrait de l'article "Stars cherchent fans" de Nicolas Houle, Le Soleil, Publié le 06 février 2010Karkwa est un véritable cadeau
De belles mélodies sensibles et influencées de sonorités des années 70. À découvrir. Avec des noms d'albums comme "Le Pensionnat des Établis", "Les Tremblements s'immobilisent" et "Le Volume du Vent", comment ne pas s'attendre à des textes poétiques et une magnifique musique pour accompagner le tout.
Extrait du blog "ma mère etait hipster"
Lille la nuit le 17 mars
Le Québec aura réussi, en quelques années, à nous faire oublier son contingent de brailleurs et de starlettes pour comédies musicales en laissant éclore quelques talents singuliers et nettement plus délicats. Citons pêle-mêle Patrick Watson, Malajube, Sunset Rubdown, l’écurie Constellation et la galaxie Arts & Crafts, Arcade Fire, Karkwa ou The Dears, pour n’en mentionner qu’une poignée.
Du côté de la chanson francophone, aux côtés de Coeur de Pirate et d’Ariane Moffat, Pierre Lapointe compte parmi les artistes les plus acclamés à émerger de la Belle Province. Adoubé par la critique des deux côtés de l’Atlantique (Télérama et les Inrocks adorent), ce garçon discret et affable délivre des textes mystérieux, teintés de romantisme, sur une base de piano enluminée d’arrangements cossus. Il déploie surtout un univers musical subtilement anachronique, plaquant sur des compositions pop modernes d’inattendus stigmates de la variété des années 70 (Charlebois et Joe Dassin en tête). Les Français(es) l’avaient accueilli chaleureusement à la parution de La Forêt des Mal-Aimés en 2006 , ils/elles devraient renchérir à l’occasion de la sortie de Sentiments Humains, son tout nouvel album.
Informations: | ||
Pierre Lapointe + Cascadeur Date : Mercredi 17 Mars 2010 Lieu : Aéronef (l') Ville : Lille Horaires : 20h00 Prix : 22.00 € - Plein 18.00 € - Abonnés Evènement proposé par LilleLaNuit.com (Amaury) |
Actualités de Studio 12 le 5 février 2010
* De tous les Studio 12 que j'ai eu le plaisir d'animer, on me parle le plus souvent de celui de Karkwa. Peu importe l'âge des gens qui m'arrêtent dans la rue pour me parler, plusieurs ont vraiment adoré l'émission avec les membres de Karkwa et leurs complices Mara Tremblay, Marie-Pierre Arthur et Plants & Animals. Le groupe lance un nouvel album ce printemps et nous en offrira un avant-goût pour l'avant-dernière de la saison, et ce, malgré un horaire ridiculement trop chargé. Premier invité confirmé: l'inénarrable Martin Léon.
* Mara Tremblay est la soliste la plus désirée par les artistes en résidence à Studio 12. Pour le sien, elle a convié les plus branchés de l'heure: d'abord Yann Perreau, de qui je commençais justement à m'ennuyer. Si vous n'avez toujours pas vu son nouveau spectacle, précipitez-vous au Métropolis le 20 février prochain. Ensuite, la charmante Fanny Bloom, chanteuse et parolière de l'irrévérencieux trio La Patère Rose. Puis, pour la toute première fois à Studio 12, Malajube. Un lineup d'enfer, non?
* La réalisatrice-coordonnatrice Diane Maheux travaille jour et nuit sur notre émission-hommage à Bashung. J'ai participé au choix des artistes, un processus certainement stimulant, mais parfois déchirant. Coordonner les horaires et les désirs de chacun est un vrai casse-tête! Seront finalement présents Daniel Lavoie, Stefie Shock, Bïa et Stéphanie Lapointe. Reste maintenant à jumeler chaque interprète à ses chansons!
* La saison de Studio 12 se terminera par une émission spéciale Révélations Radio-Canada Musique. Encore là, coordonner les disponibilités de 15 nomades éparpillés d'un bout à l'autre du Canada est un exercice frustrant et périlleux, mais on a réussi à les rassembler pour un concert unique où ils auront tous leur chance de faire de la musique ensemble. Jazz, pop, chanson française a capella, musique du monde... Bref, un beau party.
Les connaissez-vous? Cliquez ici!
J'espère que ça vous plaît!
extrait de l'article "Soir de première pour Luce Dufault" Par: Rebecca Makonnen
Hier soir à Québec ….
vendredi 5 février 2010
La marche olympique de Karkwa
Relectures audacieuses, à la fois déroutantes et familières
(Québec) Un spectacle acoustique inégal et un avant-goût de l'album à paraître au printemps : c'est ce que nous a offert Karkwa hier soir au Théâtre Petit Champlain, où le groupe remontera sur scène ce soir devant une salle comble.
La prestation d'hier était à la fois déroutante et familière. Déroutante, parfois, parce que le quintette a proposé des relectures audacieuses de certaines chansons, comme Coup d'État, méconnaissable. Aller jusqu'à déconstruire la mélodie, c'était à mon sens pousser trop loin l'exploration. C'est le genre de chose qui, presque toujours, entraîne la déception. Pour la très belle Épaule froide, encore un malaise. Le groupe s'est montré inventif aux percussions, mais l'instrument qui marquait le tempo prenait beaucoup trop de place, enterrait la voix et même le piano.
Maintenant, pour d'autres chansons, la version acoustique était étonnamment proche de l'enregistrement, et la puissance rock du groupe ne perdait rien dans l'exercice. Alaska et Combien ont donné lieu à de belles envolées en deuxième partie, tout comme le succès Oublie pas, un peu plus tôt.
L'atmosphère était celle d'un party de cuisine, pour reprendre les mots du chanteur Louis-Jean Cormier. Ainsi, il s'est permis d'échanger plusieurs blagues avec le pianiste François Lafontaine, mais on avait l'impression que ça se passait entre eux plus qu'avec nous par moments. Personne n'a semblé s'en formaliser, Karkwa jouait devant un public conquis d'avance, mais l'échange avec le public reste un point à améliorer.
La première partie, quoique livrée avec adresse par des musiciens doués, manquait nettement de moments forts. La deuxième a commencé plus solidement, mais s'est un peu essoufflée sur Froids fonds.
Le prochain album laisse espérer des mélodies plus construites, moins de courts motifs répétitifs, mais aussi plus de joie, plus de soleil, un côté plus pop. En tout cas, c'est ce qui est apparu dans les trois nouvelles chansons offertes par Karkwa et particulièrement dans Marie, très entraînante.
Au final, un spectacle en dents de scie, dans lequel l'émotion ne faisait pas toujours son chemin. Karkwa a déjà offert beaucoup mieux.
Article Karkwa "acoustique: un spectacle en dents de scie" de Valérie Lesage, Le Soleil,Publié le 05 février 2010
mercredi 3 février 2010
Francouvertes ; « C’est pas de gagner qui compte, c’est de participer! »
François : On se souvient très bien de notre expérience aux Francouvertes, parce qu’on avait travaillé très fort. C’était le premier concours auquel on participait.. et ça été le dernier! On était très motivé. C’est la première fois qu’on travaillait aussi fort, afin de peaufiner le spectacle. Je dis souvent que les Francouvertes a été le coup d’envoi de Karkwa. Tout a commencé là pour de vrai pour la formation.
Stéphane : On avait d’autres projets, mais c’est là qu’on s’est dit « Ok, on a un band, on se concentre sur Karkwa ». On a pris cette décision là avec les Francouvertes en horizon. Il nous fallait un démo, donc ça nous prenait des tounes prêtes. Après ça, il nous fallait 20-25 minutes de show pour une date précise.
François : Lors du concours, on avait eu des critiques sur certaines choses, et ils n’avaient pas tort. Avec le recul, je comprends que ça prend un certain détachement. Quand tu fais un concours, faut pas que t’oublies que ça reste rien que de la musique.
Julien : On a tellement pris ça à coeur qu’en finissant 3e, ça nous a permis de s’auto-critiquer. On s’est demandé après ce qu’on faisait de pas correct. On a pris du temps pour regarder ce qu’on faisait.
Stéphane : C’est pas une course de chars! C’est pas le premier arrivé qui gagne. En musique, ça va dépendre du public et du jury. Y’a un côté subjectif. Y’a pas de gagnant clair et net. Tout le monde sort gagnant. Dobacaracol, qui était là la même année que nous, n’avait même pas fait les finales et ils ont réussi à vendre 50 000 copies de leur disque après le concours.
François : Faut voir ça comme une vitrine qui dure l’instant d’un show. Et si tu réussis à te rendre en finale, ben tant mieux! C’est pas de gagner qui compte, c’est de participer!
Julien : En tant que porte-parole, il faut être là pour les artistes, les conseiller. En même temps, si on regarde notre expérience, on n’était pas les grands gagnants, s’ils ont besoin d’une épaule pour consoler, on est là!
Extrait de l'article de Valérie Thérien, BangBangblog.com, le 2 février 2010
mardi 2 février 2010
Karkwacoustique !
Le groupe a habitué ses fans à des spectacles qui sonnent forts, habillés par des éclairages assez « électrisants ». À quoi peuvent-ils s’attendre de cette expérience acoustique ? « On veut faire exactement pas ce qu’il y a sur le disque, on veut aller ailleurs », affirme d’emblée Stéphane Bergeron, batteur de la formation.
« On le fait par goût, par envie de défi. Ce n’est pas un show qui est réellement monté […] C’est plus épuré, plus simple, on improvise un peu. On se connaît bien, on voit venir les autres », précise-t-il.
Le groupe proposera plusieurs chansons de leur dernier gravé, mais devrait revisiter également des pièces de son répertoire antérieur. Le batteur confirme : « On se promène plus que dans les spectacles standards. On refait des tounes qu’on ne jouait plus, c’est une nouvelle mouture. »
Une 4e galette
Parallèlement à leur tournée, les membres de Karwa travaillent à la réalisation d’un 4e album, dont la sortie est prévue au printemps, et dont une partie a été enregistrée en France. Un disque pour lequel les attentes seront certainement énormes, après le succès impressionnant du Volume du vent, un succès qui a élevé Karkwa au rang de groupe-phare de la scène musicale québécoise.
Angoissés, les gars ? « Il y a un stress, oui et non […] Peu importe, on s’attend à se faire ramasser : si on fait quelque chose de trop différent, on va se faire critiquer; si c’est trop pareil, on va aussi se faire critiquer », expose Stéphane Bergeron. Alors, pareil ou différent, ce prochain enregistrement ? « C’est différent, il y a une cassure qui se fait. Présentement, on n’a aucun recul, alors c’est difficile à dire mais, à date, on est contents. C’est stimulant à faire comme album », avance le batteur.
Musique de film
Une chose est sûre, les membres de Karkwa ne chôment pas. Le groupe a notamment été invité à se produire aux Jeux Olympiques de Vancouver. Karkwa fait d’ailleurs partie d’une délégation imposante d’artistes québécois à se rendre sur place, avec Ariane Moffat, Cœur de Pirate, Malajube et Misteur Valaire, pour ne nommer que ceux-là.
Le quintette travaille également à la réalisation de la musique d’un documentaire sur le peintre Marc Séguin, un artiste qui partage son temps entre le Québec et New-York, et réalisé par Bruno Boulianne. « J’ai vraiment accroché là-dessus, c’est un personnage incroyable. C’est un film sur ses passions [pour] la chasse et l’art », lance Stéphane Bergeron, en parlant du peintre, ajoutant que ce genre de projet plait grandement aux gars de Karkwa.
Au départ prévu pour un soir seulement, une supplémentaire a été ajoutée à ce spectacle en version acoustique, puisque les billets s’envolaient rapidement. « C’est le fun ! C’est rare qu’on a l’occasion de jouer à Québec deux soirs en ligne. On va pouvoir profiter de notre journée à Québec », conclut le musicien.
Article de Christine Rousseau, Impact Campus, le 02 février 2010
Le vrai départ de Karkwa
« Si j'ai un conseil à donner, c'est qu'il faut être détaché. Il ne faut pas mettre tous les oeufs dans le même panier. Même si on perd, il ne faut pas se décourager. Il existe d'autres contextes où sa musique peut bien passer », ajoute-t-il.
Extrait de l'article "Lancement des Francouvertes – De jeunes talents remplis d'espoir" de Philippe Renault, rueFrontenac, le Mardi, 02 février 2010
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