Extrait de "Aulismedia Audio Library"
Karkwa la grande réunion d'octobre 2017
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jeudi 31 décembre 2009
Karkwa, Le Volume Du Vent : "a solid and well-received album"
Extrait de "Aulismedia Audio Library"
Les tremblements s’immobilisent, l'avis d'un fan
Extrait du blog "Le Gros Morisse" qui nous parle de ses "Albums de la Décennie", publié le 30 December 2009
mercredi 30 décembre 2009
Top 200 des chansons québécoises qui ont marqué les années 2000
1 The Arcade Fire - Rebellion (Lies)
2 Malajube (avec Pierre Lapointe) - Montréal -40
3 Daniel Bélanger - Rêver Mieux
4 Karkwa - Coup d'état
5 The Arcade Fire - Wake Up
6 Les Trois Accords - Saskatchewan
7 Loco Locass - Sheila Chu là
8 Bran Van 3000 (avec Curtis Mayfield) - Astounded
9 Dumas - Je ne sais pas
10 Patrick Watson - The Great Escape
(...)
Extrait de l'article de rifftabaracci, 33mag.com, le 29 décembre 09
Top 200 des albums québécois qui ont marqué les années 2000
1 The Arcade Fire - Funeral
2 Daniel Bélanger - Rêver Mieux
3 Karkwa - Les tremblements s'immobilisent
4 The Arcade Fire - Neon Bible
5 Loco Locass - Manifestif
6 Daniel Boucher - La Patente
7 Wolf Parade - Apologies To Queen Mary
8 Malajube - Trompe-l'œil
9 Karkwa - Le Volume du Vent
10 Mara Tremblay - Tu m'intimides
(...)
Extrait de l'article de rifftabaracci, 33mag.com, le 29 décembre 09
Laissons parler notre coeur
L’année 2009 a été riche en sorties avec quelques blockbusters évidents :
Black Eyed Peas, Lady Gaga ou David Guetta, et comme toujours quelques disques qui ne dépasseront pas le cap des 5000 ventes et auront bien du mal à entrer en rotation dans les radios généralistes…
Qu’à cela ne tienne, oublions les classements des ventes et laissons parler notre coeur. Voici mes trois albums préférés de cette année : du hype et connu, du rock et pas connu, et du québécois qui gagne à être connu. Tabernâcle ! (...)
Première place
Karkwa, le Volume du vent. J’ai dû l’écouter des centaines de fois. Karkwa est clairement ma grande découverte de l’année.
- Compte rendu du concert de Karkwa au Batofar.
- Karkwa, leur concert à La Maroquinerie.
- Karkwa au Nouveau Casino à Paris à l’occasion du festival Colors.
Un moment tellement authentique
- Compte rendu du concert de Karkwa au Batofar.
- Karkwa, leur concert à La Maroquinerie.
- Karkwa au Nouveau Casino à Paris à l’occasion du festival Colors.
mardi 29 décembre 2009
Karkwa au Botanique à Bruxelles : coup de coeur à la Libre Belgique
DOMINIQUE SIMONET
Concerts
- Yusuf (Cat Stevens) + U2, Shepherd’s Buhs Empire, Londres
- Claire Denamur, Francofolies, Spa
- Ry Cooder/Nick Lowe, Olympia, Dublin
- Christophe, Cirque Royal, Bruxelles
- Karkwa, Botanique, Bruxelles
- Paul McCartney, GelreDome, Arnhem
lundi 28 décembre 2009
Un album sans failles
Karkwa – Le volume du vent (2008)
Consécration de tout le talent du groupe, un album sans failles.
Extrait de l'article "Les années ‘00 en albums" par Étienne Dubuc, Bangbangblog, le 28 décembre 2009
Karkwa, talentueux et professionnel
Karwka, Les Plaines à Québec, le 19 juillet
dimanche 27 décembre 2009
Parmi les 10 meilleurs albums d'auteurs-compositeurs
Tous n'ont pu tout écouter, évidemment. Mais voici, selon notre équipe et après des discussions enflammées, les 10 meilleurs albums d'auteurs-compositeurs et les 10 meilleurs albums d'interprètes sortis au Québec entre 2000 et 2009. Rendez-vous sur cyberpresse.ca/palmares pour découvrir les choix de chacun de nos journalistes, qui divergent parfois complètement.
LES 10 MEILLEURS ALBUMS QUÉBÉCOIS D'AUTEURS-COMPOSITEURS *
1. Funeral d'Arcade Fire (2004)
2. Trompe-l'oeil de Malajube (2006)
3. Le volume du vent de Karkwa (2008)
4. La forêt des mal aimés de Pierre Lapointe (2006)
5. La vallée des réputations de Jean Leloup (2003)
6. L'échec du matériel et Rêver mieux (exaequo) de Daniel Bélanger (2007 et 2001)
7. Gros Mammouth, Album turbo des Trois accords (2004)
8. Close to Paradise de Patrick Watson (2008)
9. Planter le décor de Fred Fortin (2004)
10. Lift Your Skinny Fists Like Antennas to Heaven de Godspeed You! Black Emperor (2000)
Extrait de l'article "Les albums des années 2000" de Marie-Christine Blais, La Presse, Publié le 26 décembre 2009
samedi 26 décembre 2009
MONTRÉAL SUR LA «MAPPE»
Ainsi, derrière un Daniel Bélanger (à qui l’on doit le fabuleux Rêver mieux, le meilleur album de la décennie, à notre avis), se cachent Ariane Moffatt, Yann Perreau, Dumas, Vincent Vallières, Karkwa, Loco Locass et Malajube.
Le début du siècle a aussi vu le moderne et le traditionnel se marier à merveille alors que des groupes comme Les Cowboys Fringants et Mes Aïeux ont séduit des milliers de jeunes.
Pendant ce temps, Montréal devenait la Seattle du XXIe siècle. Entraînés par le tourbillon Arcade Fire, plusieurs groupes montréalais ont fait parler d’eux sur le globe, dont Patrick Watson et, dans un autre registre, Simple Plan. À un certain moment, le moindre album lancé par une formation venant de Montréal attirait l’attention des médias spécialisés interdnationaux. (...)
Top 10 des albums québécois
1. Rêver mieux, Daniel Bélanger
2. Funeral, Arcade Fire
3. Les tremblements s’immobilisent, Karkwa
4. Close To Paradise, Patrick Watson
5. La Grand-Messe, Les Cowboys Fringants
6. La forêt des mal-aimés, Pierre Lapointe
7. Le cours des jours, Dumas
8. Aquanaute, Ariane Moffatt
9. Trompe-l’oeil, Malajube
10. En famille, Mes Aïeux
Extrait de l'article "Le top de la musique québécoise" de Cédric Bélanger, Le Journal de Québec, le 26-12-2009
Bye Bye Bye 2009
Suggestion #1 de Louis-Jean Cormier : Plants and Animals
Ils ont fait 2 EP et un album, «Plants and Animals» (2005), «With/Avec» (2007) et «Parc Avenue»(2008). Leur musique est qualifiée d'Indie Rock. Le groupe est composé de Warren Spicer (Guitare, Voix), Matthew Woodley (Batterie, Voix) et Nicolas Basque (Guitare, Basse, Clavier, Voix). Ils sont en train de produire un nouvel album qui risque d'être pas mal bon. Les chansons j'aime bien sont «Faerie Dance», «Feedback in Field», «New kind of love» et «Bye Bye Bye».
jeudi 24 décembre 2009
Deux concerts de Karkwa qui promettent d’être magiques
Les cinq membres de la formation Karkwa s’amènent au Théâtre Petit Champlain avec deux concerts qui promettent d’être magiques.
La soirée du 5 février affiche déjà complet. Karkwa a gagné l’estime du public et de la critique avec Les tremblement s’immobilisent (trois Félix au Gala de l’Adisq en 2006).
La formation s’impose désormais comme un incontournable de la scène rock québécoise. Le 3e album Le volume du vent est louangé par la critique. Il faut maintenant voir les membres du groupe sur scène!
Spectacle acoustique
Jeudi 4 février 2010 , 20 h
Vendredi 5 février 2010, 20 h (COMPLET)
rachel@theatrepetitchamplain.com
Soumis par Frédéric Sarault le 23 décembre 2009 sur Patwhite.com
mercredi 23 décembre 2009
Luc De Larochellière, de retour au sommet
Quand Luc De Larochellière a mis la touche finale à Un toi dans ma tête, il savait qu’il avait entre les mains une œuvre solide. Jamais il ne se serait douté, cependant, que son huitième album se hisserait au sommet du palmarès. Juste retour des choses pour cet infatigable créateur, confiné depuis trop longtemps à des succès d’estime.(...)
Cordes sensibles
Pour transcrire ses émotions au plan musical, Luc De Larochellière a opté pour une facture folk, magnifiée de cordes, de bois et de cuivres. Il a renoué avec son complice de toujours, le guitariste, producteur et arrangeur Marc Pérusse, auxquels se sont ajoutés de nouveaux collaborateurs, tels le claviériste François Lafontaine (Karkwa), le batteur Justin Allard ou l’orchestrateur Anthony Rozankovic. « Je voulais arriver avec un son actuel, mais intemporel, précise-t-il. […] C’est un mélange de musiques folk nourries à une tradition orchestrale classique – un peu à la façon des vieux albums de Nick Drake. »
Extraits de l'article de Nicolas Houle, dans le numero d'Hiver 2009 de Paroles et Musique
Paroles et musique
www.socan.ca
mardi 22 décembre 2009
Barak Obama est derrière « La fille aux yeux rouges »
La fille aux yeux rouges
Barak Obama est derrière « La fille aux yeux rouges »
Cinéma d’animation Vs. Cinéma traditionnel
Extrait de l'article de "Voir Autrement" le blog de TV5 à Montréal
lundi 21 décembre 2009
La vraie perle de la discographie de Karkwa
Le volume du vent a placé le groupe aux avant-postes, mais la vraie perle de la discographie de Karkwa est l'album précédent. À la fois audacieux, rock, imprévisible et annonciateur de ce qui va suivre.
Extrait du top des meilleurs albums des années 2000 (dossier) de Branchez-Vous
Fin de décennie oblige, les critiques musicales de Showbizz.net vous présentent leur top 20 des meilleurs albums des années 2000. Des albums à découvrir ou à réécouter…
Par Richard Legault et Pierre-Mathieu Tremblay.
dimanche 20 décembre 2009
La façade
Quand le show se fait mort
Tout ça pour une façade
Une image qui ferait jaser fort
Quand tout est au plus fade
Quand l’usine ne fait plus assez d’or
Inventer dans l’espoir
D’éviter la glissade
Forcer pour se faire voir
Jusqu’à faire planter la parade
Où est l’âme, où est l’homme
Où est l’air qui résonne
Où est l’art qui se donne pour de vrai?
Où est l’humble microphone
Pour tous ceux qui griffonnent
Des milliers de projets?
Mettre en rêve un cauchemar
Camoufler le maussade
Comme un vieux dépotoir
Sous un quartier que l’on idolâtre…
Déformer le miroir
Jusqu’à croire au miracle
Où est l’âme, où est l’homme
Où est l’air qui résonne
Où est l’art qui se donne pour de vrai?
Où est l’humble microphone
Pour tous ceux qui griffonnent
Des milliers de projets?
« La facade » CD : « Le volume du vent » de [karkwa]
Planète Terre
Révolution tranquille au Japon? / L’ère du Charbon
Bernard Bernier (ant, CETASE), Claude Comtois (géo, CETASE), Pierre-Olivier Pineau (Hec)
Pierre-Olivier Pineau, professeur au service de l’enseignement des méthodes quantitatives de gestion à HEC Montréal. Dernier texte paru : "The Value of Unused Interregional Transmission: Estimating the Opportunity Cost for Quebec (Canada)", International Journal of Energy Sector Management.
Choix musical de Pierre-Olivier Pineau : À la chaine du groupe québécois Karkwa.
vendredi 18 décembre 2009
12 hommes rapaillés et un public en liesse
C’était un soir de première à Québec hier, la salle Louis-Fréchette bondée et silencieuse, voire anxieuse, attendait patiemment l’entrée en scène des douze hommes rapaillés. Après avoir séduit les Montréalais aux Francofolies en août dernier, c’est au Grand-Théâtre de Québec que se déplaçait le spectacle tant attendu de Gilles Bélanger et Louis-Jean Cormier.
C’est une scène dépouillée de tout artifice qui s’offrait aux curieux, mélomanes et dévoués à la poésie de celui que l’on fait « poète national » du Québec, lors de son départ en 1996. Ici et là, une table et quelques livres épars, des instruments disposés en demi-cercle habillaient la grande scène, laissant une brèche immense au centre afin de permettre au personnage principal de s’exprimer librement : la poésie.
Pour rendre les poèmes de Miron vivant, Gilles Bélanger misera sur un pont générationnel puissant. Et il va sans dire, Bélanger réunit pour ce faire : Daniel Lavoie, Yves Lambert, Michel Rivard, Jim Corcoran, Pierre Flynn et Richard Séguin aux côtés de Louis-Jean Cormier, David Marin, Vincent Vallière et Yann Perrault. Quel mariage entre les générations et quel spectacle ce sera!
Le public est conquis dès le premier vers de « Je marche à toi » déclamé tout en douceur par un Yann Perreau serein. Les orchestrations sont magnifiques, la musique est entraînante et jamais chargée. Le texte respire simplement, les voix supportent biens, une mouche s’entend dans la salle et les pièces s’enchainent. Jamais on n’intervient entre les chansons, les égos sont au vestiaire, seulement la voix de Miron fait écho à quelques occasions. Des extraits d’entrevues avec le poète se feront entendre entre les passages musicaux.
Durant la soirée, jamais on ne mentionne les personnalités sur scène, les artistes ne prendront pas la parole pour la durée du spectacle. Seules les musiques s’enchainent, et on passera du country au rock, de la complainte à la ballade sans que l’on ressente des ruptures de ton entre les morceaux. Tout se fait dans l’harmonie, il faut pour ça remercier les brillants musiciens qui accompagnent la kyrielle de chanteurs populaires : Mélanie Auclair au violoncelle, Robbie Kuster aux percussions, François Lafontaine au clavier, Guido Del Fabro au violon et Mario Légaré à la basse.
Sinon quelques problèmes techniques sans grande importance, le spectacle, qui aura duré tout près de deux heures, n’aura jamais failli, ni perdus en émotions puissantes. La salle comblée à souhait a réservé un accueil très chaleureux à Gilles Bélanger lorsqu’il est apparu pour chanter en épilogue « Parle-moi ».
Le spectacle douze hommes rapaillés est possiblement un des plus beaux projets musicaux offerts au Québec depuis fort longtemps. Jamais la poésie québécoise n’aura été aussi bien saisie et honorée.
Article de Michaël Lachance, collaborateur pour Patwhite.com à Québec, le 26 novembre, 2009
mercredi 16 décembre 2009
Karkwa a le vent dans les voiles
Début janvier, le groupe sera sur les planches, à Beloeil.
Article de Stéphanie Bachand, MontérégieWeb, Sortir - 16 décembre 2009
Quand la musique décape positivement nos cerveaux
On se laisse bercer par les cœurs du groupe, emporter par les solos de guitares et le martèlement des batteries. Alors que beaucoup de groupes francophones échouent dans la difficile tache de l’interprétation dans la langue de Molière, Karkwa réussi avec brio, une longueur d’avance sur ces maudits français, et pour notre plus grand plaisir.
Le public est conquis ce qui est un assez joli tour de force : il est pour beaucoup formé de personnes venus uniquement voir Oxmo Puccino, et habitués aux seuls morceaux de rap. Le groupe communique avec nous, plaisante sur leur accent made in Montréal, on se laisse définitivement charmé par ce délicieux quintet rock aux sonorités évanescentes et on s’étonne de son manque de notoriété en France alors que doté d’un tel talent et aussi reconnu sur le reste du globe. Cependant, toutes les bonnes choses ont une fin et Karkwa sort de scène sans rappel, sous les applaudissements. (...)
Extrait de l'article de "Sick Sad World'zine Vs Rockos" d'Helina Didsik, le Mercredi 16 décembre 2009
Groupe québécois marquant des années 2000
Karkwa
Extrait de l'article "10 groupes/artistes québécois marquants des années 2000" sur le blog "Un parmi 6,7 milliards" le mardi 15 décembre 2009
mardi 15 décembre 2009
Entrevue Karkwa à La Chapelle
Le groupe Karkwa était de passage au centre d'art la Chapelle de Québec le 28 novembre dernier. Phil "Kid" Jacques d'NRJ 98.9 en a profité pour parler avec eux d'un nouvel album à venir.
par Philippe KID Jacques, le 14 décembre 2009
lundi 14 décembre 2009
Fred et Marie-Pierre, le meilleur de la région en ville
Deux récitals de haute volée, deux artistes qui ont découvert leur vocation d’artiste dans leur région respective - la Gaspésie et le Lac Saint-Jean. Deux artistes qui ont complété leur formation professionnelle à Montréal. Qui s’y sont établis, sans perdre contact avec les terres où ils ont grandi et qui en inspirent encore la création. Qui élèvent la vie culturelle montréalaise. Qui élèvent la vie culturelle du Québec et de la francophonie d’Amérique. Qui participent à ce qui se fait de mieux chez nous, question chanson pop indé.
Dans des conditions un peu frisquettes, Fred a tiré son épingle du jeu samedi. Il n’est peut-être pas la star conviviale qu’on aime décliner sur toutes nos plateformes grand public, il est quand même béni de pouvoir vivre sa profonde originalité, le Fred. Multi-instrumentiste solide, superbe bassiste, très bon guitariste, très bon batteur, compositeur aguerri, parolier de talent (avec ce parti-pris pour sa langue familière des Bleuets), rassembleur de musiciens excellents - Olivier Langevin, Jocelyn Tellier, Justin Allard.
Je ne sais si toute cette beauté qui vient de Fred Fortin dépassera un jour nos frontières. Le rôle qu’il joue auprès de Thomas Fersen (réalisateur d’album et sideman de tournée) pourrait aider, et on verra bien comment sa poésie deviendra universelle sans perdre sa saveur locale.
M’est d’avis que Marie-Pierre Arthur s’impose comme la recrue québécoise en 2009. Elle travaille, sympathise et évolue dans un milieu extrêmement riche - membre de la famille Karkwa, elle est la compagne du très doué claviériste François Lafontaine. Ses qualités de bassiste et chanteuse lui ont valu plusieurs engagements (Ariane Moffatt, Stefie Schock, etc.) avant qu’elle ne risque une carrière solo. Pour un premier album, il me semble assez normal que la marque Karkwa soit observable sur certaines de ses meilleures chansons. Assez normal itou que Louis-Jean Cormier et François Lafontaine aient été invités à se joindre à son très bon band - Olivier Langevin, guitares (il est partout!), Joseph Marchand, guitare, José Major, batterie, Denis Faucher, claviers.
Prenez Le Vent m’appelle par mon prénom, qu’elle a fait au rappel avec son amoureux venu s’asseoir à ses côtés. Prenez Sans mémoire. Marie-Pierre fait partie de cette mouvance, il faut plutôt voir les choses ainsi à mon sens. Et lorsqu’on écoute Pas le courage ou Déposer les armes, on se dit qu’elle s’est approprié ce qu’elle devait s’approprier de cette école. Et ce n’est qu’un début. Et il y a aussi en elle le country et la grande pop de création americana, ce goût de Fleetwood Mac (Never Going Back Again), The Band (Look Out Cleveland), Waylon Jennings (Are You Ready For The Country), pour citer les reprises qu’elle a jouées le 9 décembre.
Je suis Montréalais de quatrième généation, j’ai beaucoup de respect pour les régions quand j’écoute Fred et Marie-Pierre… Montréalais à part entière.
Article d'Alain Brunet, La Presse, Le Lundi 14 Décembre 2009
dimanche 13 décembre 2009
The Band Tribute au Divan Orange
L'Homme rapaillé ne veut pas mourir
(Québec) Gaston Miron est considéré ici et dans le monde francophone comme la plus grande voix poétique du Québec contemporain. Il est pourtant l'homme d'un seul livre.
L'écrivain a travaillé et retravaillé pendant un quart de siècle les textes du recueil intitulé bellement L'Homme rapaillé. Publié pour la première fois en 1970, le même titre a fait l'objet de pas moins de sept versions différentes.
Près de 15 ans après sa mort, survenue le 14 décembre 1996, un groupe de 12 chanteurs populaires parmi les meilleurs, à l'invitation du musicien Gilles Bélanger et de Louis-Jean Cormier, du groupe Karkwa, décident de se réunir pour rendre à la langue d'ici et à la poésie ce qui appartient à Miron.
Le disque et le spectacle qui ont suivi s'appelle Douze hommes rapaillés. Des tounes du disque circulent et jouent déjà beaucoup dans les bonnes radios. Le spectacle a fait l'événement aux FrancoFolies de Montréal, en août. On a pu le voir et l'entendre fin novembre au Grand Théâtre.
La poésie de Miron, lue et entendue, enterre définitivement la querelle à savoir si la langue québécoise fait partie du français international. Sa langue parfaitement québécoise enrichit la langue française. Sa poésie qui ne peut venir que d'ici fait grandir la littérature mondiale.
Au début des années 1990, sur le plateau d'Apostrophe, la célèbre émision littéraire de la chaîne française TV5 animée par Bernard Pivot, Miron avait fait l'unanimité en sa faveur avec des phrases comme « Je n'ai jamais voyagé vers autre pays que toi mon pays. » Ou encore : « Nous ne serons jamais plus des hommes si nos yeux se vident de leur mémoire. »
La critique salue en lui la force et la profondeur universelle de sa démarche. Il défend une langue dans un Québec anglicisé de toute part. Il parle aussi de l'amour tout court. Son poème La marche à l'amour est considéré comme l'un des plus beaux jamais écrit en Amérique française. La chanteuse Chloé Sainte-Marie l'interprète avec un talent remarqué. Il est repris par Douze hommes rapaillés.
Gaston Miron est né à Sainte-Agathe-des-Monts le 8 janvier 1928. Il est confondateur des éditions de l'Hexagone, en compagnie de Gilles Carle, Louis Portugais, Olivier Marchand, Mathilde Ganzini et Jean-Claude Rinfret.
Dès les années 1950, il publie des poèmes dans divers quotidiens et périodiques, dont Le Devoir et Parti Pris. Entre autres distinctions prestigieuses, le recueil L'Homme rapaillé lui mérite, dès 1971, le Prix Apollinaire.
Article de Louis-Guy Lemieux, Le Soleil, le 13 décembre 2009
Tout ça pour ça
Archive du 24 juillet 2009 à Paris
Sur les Fringantes à voir :
3 videos : La Façade, Le compteur, Echapper au sort
16 belles photos
1 commentaire
jeudi 10 décembre 2009
Top 3 CD 2009 de François Lafontaine
Grizzly Bear
Veckatimest
"Mélodies et arrangements absolument incroyables! Tout simplement le meilleur disque de l'année."
Mara Tremblay
Tu m'intimides
"La preuve qu'un artiste peut oser et se renouveler tout en restant lui-même. Bravo, Mara!"
Thus:Owls
Cardiac Malformations
"Un des meilleurs groupes de la scène suédoise en ce moment. À découvrir sur disque et en spectacle."
Premières neiges : Marie-Pierre Arthur au National
mercredi 9 décembre 2009
Karkwa à Ste Genevieve le 5/12/2009
dimanche 6 décembre 2009
Brulante avalanche
Salle Jean-Louis Millette gazed on… Gazed and shook to the blistering indie avalanche that is Karkwa… Photos & review to come.
La Salle Jean-Louis Millette a regardé … a regardé et tremblé avec la brulante et "indie" avalanche qu'est Karkwa … photos et article à venir....
vendredi 4 décembre 2009
Magnifique et unique
Le 25 novembre dernier, avait lieu la seule représentation du spectacle « Douze Hommes rapaillés chantent Gaston Miron » à Québec. Suite logique du succès de l’album, la plupart des artistes présents sur le disque, se retrouvent sur la scène du Grand Théatre.
Lorsque les lumières se ferment, le maître d’oeuvre Louis-Jean Cormier se présente dans un environnement singulier, aux lumières tamisées. Avec cette grande bande d’éclairage de couleur rouge sang en fond, Cormier prend sa guitare, s’assoit et ouvre son ordinateur portable. Comme venue d’un autre monde, la voix de Gaston Miron se fait entendre. On dirait qu’il nous invite à ce moment unique où la rencontre de la musique et des mots nous feront vivre une soirée fertile en émotions…
Pendant ce temps, les compagnons musiciens se placent derrière leurs instruments. On ne distingue que les silhouettes de François Lafontaine (Karkwa) aux claviers, Robbie Kuster (Patrick Watson) à la batterie et aux percussions, Mario Légaré à la basse. Laissant toute la place à Miron… Doucement éclairé au centre de la scène, le charismatique Yann Perreau entame les premières notes de « Je marche à toi». Suivront les Jim Corcoran, Vincent Vallières, David Marin, Yves Lambert… tous aussi émouvant et sensible que l’oeuvre de Miron. Mais c’est lorsque se présentent les Michel Rivard, Pierre Flynn, Daniel Lavoie et Richard Séguin ; et qu’ils s’installent autour de la table et écoutent leurs compatriotes chanter, que nous sommes plongés dans un univers parallèle ! On se croirait dans un sous-sol d’église ou d’école où un groupe d’amis musiciens se retrouvent pour partager leurs passionnantes interprétations… Je pourrais vous parler de chacune des prestations de ces Hommes, tellement uniques étaient-elles. Des moments comme ceux-là sont rares ! Je me sentais privilégié de vivre une telle rencontre, au moins une fois dans ma vie.
La musique de Gilles Bélanger donne un souffle intemporel aux mots de Miron. Brillamment mis en scène par Marc Béland, le spectacle sous la direction de Louis-Jean Cormier n’est aucunement lassant, ni complaisant. Une célébration des mots (et des maux) d’amour. Cormier se révèle un créateur, un chef, un maître d’exception ! À tout moment, on le voit s’amuser, sûrement extrêmement fier d’avoir pu réunir tant de talents sur cette scène…
Un hommage émouvant, juste, simple – à l’image de la plume du poète -, une œuvre majeure de la chanson québécoise. « Douze hommes rapaillés » (le disque) a connu un succès incroyable (plus de 25 000 albums vendus), soutenu par de dithyrambiques critiques. Un incontournable dans toute collection d’amateurs de musique québécoise.
En attendant la parution de la deuxième partie de ce disque, le Festival en Lumière de Montréal présentera à son tour ce concert unique. Ne ratez pas cette chance de vivre ce moment !
Assurément l’un des meilleurs spectacles que j’ai vu! MAGNIFIQUE et UNIQUE!
Article Publié par Culturils le 03/12/2009, Photo : Victor Diaz Lamich – FrancoFolies
mardi 1 décembre 2009
Deuxième volume de 12 hommes rapaillés
Extrait de l'article de Paul Journet, La Presse, Publié le 01 décembre 2009
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